une petite Cerise

Invité

Il plongea ses yeux dans ceux de Cerise. Il sentait le conflit, elle en aimait un autre c'etait certain. Ces yeux brillèrent, bouillants de larmes, elle ne l'aimait certainement pas, il s'était révélé à elle et tout portait à croire quelle ne voulait pas de lui. Triste, il s'ecarta pour ne pas contribuer a cette lutte interieure et ne pas la faire soufrir. Il detourna son regard et se mit de profil. Une larme coulant sur la joue qu'elle ne voyait pas, demanda:

Comment s'apelle le chanceux qui votre coeur a ravit?

Cerise sentit le trouble du jeune homme, elle avala sa salive difficilement et répondit d'une voix tremblante:

Il s'appelle Thorus....

Elle ne sut quoi ajouter, elle regarda Edward et remarqua la tristesse sur son visage, cela lui donnait envie de pleurer, elle voulait faire quelque chose pour lui montrer que quelque chose se passait entre eux, que ce n 'était pas quelque chose à sens unique, mais elle avait peur de faire une chose qu'elle regretterait ou alors de le faire souffrir en le faisant espérer, Thorus était son premier amour, elle savait que cela pouvait durer comme ne pas durer, elle ignorait encore ce qui se passerait, le futur était si incertains.

Elle tendit une main tremblante vers le jeune homme, hésita un court instant et la posa sur sa main, elle ne le regardait toujours pas, elle ne pouvait pas sinon elle commettrait l'irréparable et ferait souffrir Thorus qui avait besoin de son soutien.

Invité

Il regarda le Lac et se surprit a la plus grande des bassesses humaines, le machisme. Thorus Lapin beau et jeune parti, riche et envié. Il pensa un court instant que son esprit et son physique, mais aussi pour son argent. Il ne pourrait plus se regarder dans un miroir. Il devait s'en aller, ne pas se retourner, il ne pourrait pas en plus de s'etre montré comme un imbécile passer pour un saule pleureur. Il se leva tourna le dos et s'arrêta net et demanda d'une voix claire, parcourue de douleur, torturé entre amour et raison:

Et vous l'aimez?

La réponse serait lourde de conséquences.... Il savait qu'après cette réponse, il n'y aurait plus qu'une chose a faire, s'en aller et essayer de vivre sans.....

Aléatha se réveille en sursaut lorsqu'Edward se lève brusquement et ouvre les yeux. Il ne faut pas être devin pour se rendre compte qu'il a l'air passablement troublé, voire attristé.

Hum, j'ai bien l'impression d'avoir raté quelque chose en m'assoupissant de la sorte ... Mais c'est plus fort que moi, dès que c'est possible je m'endors.

Elle décide de faire comme si de rien n'était et de continuer à faire semblant de dormir. Elle referme les yeux et soupire, prétendant que c'est dans son sommeil.

Ca me fait penser que je n'ai plus vu le Thorus de Cerise depuis un moment. J'imagine que c'est de lui qu'ils parlent. Enfin, me voilà dans une situation délicate si c'est bien le cas ... Soit, je ne peux pas transplaner et disparaître, il faudra donc compter avec moi. Si ce qu'ils se disent était vraiment confidentiel, ils n'en aurait pas parlé maintenant, même si je dormais.

Cerise avait envie de pleurer, tout ça la faisait souffrir, elle voulait lui dire, lui avouer ce qu'elle avait sur le coeur mais elle n'en avait pas le droit, elle ne pouvait pas faire ça à Thorus, elle n'était pas comme ça, c'est ainsi qu'elle répondit d'une voix tremblante, toute aussi pleine de douleur que celle d'Edward:

Oui je l'aime.

Les larmes commencèrent à couler, elle aimait Edward, elle le savait maintenant mais elle aimait aussi Thorus, elle était déchirée. Elle plongea son visage dans ses maisn et se mit à sangloter doucement, elle voulait retenir le jeune homme mais cela provoquerais une catastrophe, quelque chose d'irrémédiable.

Impossible de prétendre encore dormir à ce point de la situation. Aléatha ouvre les yeux bien grands à présent et s'assied. Elle réalise que les sanglots sont bien ceux de Cerise et son sang ne fait qu'un tour. Elle saute sur ses pieds et attrape Edward par sa manche pour le forcer à se retourner.

Qu'est ce que tu lui as fait ?

Ses grands yeux violets ne sont que colère.

Réponds-moi, qu'est ce que tu lui as fait pour la mettre dans cet état ?

Elle le lâche et revient vers Cerise. Elle n'a absolument pas l'habitude de réconforter les gens et sans aucune délicatesse :

Cerise, arrête tout de suite, c'est insensé !

Invité

Un larme sur sa joue coula, c'etait certain jamais elle ne l'aimerait. Si la honte ne le tuait pas, son savoir vivre, oui. Il avait honte de s'etre si simplement révélé, sans s'enquitter de se qu'elle vivait. Sa façon que trop cavalière d'agir, lui faisait honte, il avait remit en question tout pour une femme, il avait certainement trahi son oncle, qui pour lui s'etait sacrifié. Il s'en voulait, il se surprit une deuxieme fois a la basesse et pensa qu'un duel contre le sieur Lapin serait la seule solution. Cette pensée le rendit detestable a lui même, pourrait il après une telle pensée, se croire encore digne d'honneur. Il ouvrit la bouche, la lèvre tremblotante, hesita, puis lacha d'un ton ferme:

"Rien, je me suis fourvoyé, je vous souhaite tout mes voeux de bonheur....."

Il avait repris le chemin d'un honorable comportement et savait que c'etait le mieux. Elle aimait le sieur Lapin et pas lui. Il se retirait pour la laisser vivre tranquille, mais jamais il ne se resignerait a ne plus l'aimer, mais il ne pouvait se resigner à la faire souffrir. Il avança, mais a chaque sanglot, il voulait s'arreter pour se retourner et la reconforter. Mais si elle l'avait aimer lui aurait-elle dit? Si, il lui demandait cela allait la faire souffrir, mais il saurait. Il s'arreta et dit le coeur tranché:

"Et moi? Peut importe la réponse, je vous laisserais....."

C'etait la meilleur solution. Ainsi, il en aurait le coeur net. Et pourrait s'en aller le coeur lèger.....

Cerise était déchirée, son coeur lui faisait si mal. Elle pleurait toujours elle releva la tête pour regarder Edward, elle ne pouvait pas le laisser partir ainsi, elle voulait faire quelque chose mais elle ne savait pas quoi. Aléatha était près de Cerise mais elle savait qu'elle ne comprenait pas.
Cerise voulut ouvrir la bouche pour dire quelque chose mais aucun son a part des sanglots ne sortirent. Par désespoir, elle se leva précipitement et courut le long du lac essayant de fuir cette réalité qui la faisait souffrir.

Tout se passa très vite, son pieds glissa la faisant basculer dans l'eau, elle plongea la tête la première sans avoir le temps de réagir, sa tête cogna fort sur le rebord et elle disparue dans l'eau.

Invité

il ne réagit pas interieurement un lutte se disputait en lui, plus bruyante que l'exterieur. Il entendit des pas, quelqu'un courait, mais d'où venaient ils? Il se retourna baguette en avant, près a contrer tout agresseur et vit Cerise disparaitre. Choqué, il mit quelques minutes a réagir, mais une voix a l'interieur lui dit:

"En principe, tu est censé plonger et la sauver..."

Il lacha sa baguette et plongea tête la premiere et se retrouva sous l'eau. Il vit Cerise descendre au fond et se souvint:

"Depuis quand je suis censé savoir nager moi...."

Il but la tasse une première fois, mais continua a bouger ses membres de manière indiscipliné pour la remonter, l'eau etait trop trouble. Mais si jamais, elle ne l'aimait, il ne pouvait laisser mourir quelqu'un par sa faute. Il but une deuxime fois la tasse une seconde fois et plongea de plus en plus vite. Il saisit la manche de la jeune fille et prenant appuis sur le fond la propulsa vers le haut... Il remonta la poussa sur le bord et s'y hissa... Elle ne respirait plus, mais il ne savait pas quoi faire comment la soigner et se refusait a pratiquer le bouche a bouche, ce qui pourrait etre mal vue. Mais, il ne pouvait pas non plus la laisser mourir. Il pinça ces deux joues et approcha son visage du sien, pourvu qu'elle ne se reveille pas a ce moment.... Il serait une fois de plus ridicule....

Lorsque Cerise s'est levée précipitemment, tout s'est bousculé. Aléatha l'a vue partir en courant, glisser, se cogner et disparaître dans les traîtres profondeurs du lac. Elle est tétanisée lorsqu'elle ne la voit pas remonter et remarque à peine Edward la dépasser en courant et plonger à la recherche de la jeune fille.

Tétanisée toujours lorsqu'il la ressort de l'eau. Et tétanisée lorsqu'elle réalise que la poitrine de Cerise ne se lève pas comme elle le devrait.

Seigneur, non, ce n'est pas possible !

Comme dans un rêve au ralenti, elle voit ce garçon à qui elle a parlé de façon si désagréable il y a quelques instants se pencher vers son amie et essayer de la ranimer. Elle arrive enfin à bouger et vient se jetter à genoux à côté de Cerise, prenant sa main dans la sienne, toujours aussi paniquée.

Naget ... Naget si tu m'entends viens vite ... Nous sommes près du lac, c'est affreux ... Cerise ... Elle a eu un accident ...

Naget est dans le couloir, entre sa salle de cours et son bureau. Quand il entend l'appel d'Aléatha, il s'arrête net. Il change de direction, et se dirige vers le parc d'un pas rapide.

Cerise a eu un accident ? De quel genre ? J'arrive. En tous cas, fais tout ton possible en attendant. Il faut que je prévienne quelqu'un, ou je peux régler le problème tout seul ?

Aléatha tient toujours la main de Cerise dans la sienne et l'a même portée à ses lèvres. Elle a le regard complètement dans le vide et le sang a totalement déserté son visage.

Par l'ancêtre Quindiniar, tu m'as entendue !! Je n'en doutais pas vraiment mais ... Enfin soit ... Elle est tombée dans le lac, Edward l'en a sortie et maintenant elle ne respire plus. Il essaye de lui faire du bouche à bouche mais il ne se passe rien. Fais vite, je t'en prie.

Invité

Edward s'approchait peu a peu, alors qu'Aléatha se glissa au cotés de Cerise. La serpentarde etait toute retourné par les événements et un peu absente en même temps. Il la regarda d'un oeil interogateur. Mais Cerise se mourait de sa faute, il posa ses lévres sur la bouche entrouverte par sa main et souffla, un premiere fois, une deuxieme, un troisieme.... Glissa et plaça une main sur l'autre sur le point de jonction du thorax et fit pression. Il remonta les larmes au yeux et souffla, redescendit et pressa le thorax au niveau du diafragme..... recommçant ainsi, de manière rituel. C'etait de sa faute.... Tout etait de sa faute....

Cerise cracha tout à coup de l'eau, toussant et respirant à nouveau, elle reprenait petit à petit ses esprits mais elle était faible et avait encore le souffle court.
Elle cracha à nouveau de l'eau et essaya d'ouvrir les yeux, ses paupières se soulevèrent difficilement mais sa vue resta un instant brouillée mais elle réussit quand même à reconnaitre Edward au dessus d'elle, elle voulut se relever et fit un geste mais elle retomba sa tête lui faisant mal, elle porta sa main à son front et vit que du sang s'était déposé sur celle-ci, elle s'était un peu ouvert le front en tombant, elle s'aperçut enfin qu'Aléatha lui tenait la main et sentait la sienne trembler, elle lui fit un faible sourire pour tenter de la rassurer.

Elle essaya à nouveau de se relever.

Je suis dans le Hall, je serai là bientôt.

En effet, il sort bientôt du château. Il dirige immédiatement son regard vers le lac. D'abord, il ne les voit pas. Pour lui même :

Mais où sont-ils ?

Après deux secondes, ils voit Edward, de dos, penché en avant.

Là !

A nouveau, il presse le pas et avance vers eux rapidement.

Le monde se remet à tourner lorsque Cerise recrache l'eau qui la tenait éloignée des vivants.

Cerise !! Oh Seigneur ! Tu es vivante !

Devant la tentative de la jeune fille de se relever, elle la prend le plus précautionneusement possible par les épaules et la dépose sur ses genoux, lissant de sa main ses longs cheveux noisettes.

Chut, ne bouge pas ... Reste encore couchée un instant comme ça. Tu dois reprendre tes esprits.

Sa main caresse toujours ses cheveux.

Naget, elle est revenue à elle ...

Invité

Edward se leva et dit:

"Elle doit avoir se que les moldus apelle une commotion ou un trauma.... Elle risque aussi d'avoir une pneumonie avec se froid ou un rhume...."

Il s'accroupit et frictionna un peu son épaule pour la rechauffé. Il lui aurait bien donné son manteau, mais il etait aussi trempé quelle. Il etait terrorisé par se qu'il avait fait, c'etait de sa faute. Il s'assit fatigué et essoufler, porta sa main a la bouche et eternua. Il dit:

"Je suis désolé, c'est de ma faute...."

Un larme coula, c'est yeux etait rougit, le teint pale, on avait du mal a dire si il etait malade ou triste....

Naget s'arrête au milieu du parc.

Dans tous les cas, je ne peux pas me retourner tout à coup... J'arrive quand même.

Il se dirige vers le groupe, plus lentement cette fois. Il les regarde tous les trois, en essayant de ne pas s'attarder sur Aléatha, avant de les saluer :

Bonjour...

Tout à coup, il se rend compte qu'il n'a aucune raison apprente d'être là.

Je... Euh... Je... Vous ai vu de la fenêtre... Miss Owlspell semblait avoir un problème. Mais je vois que tout va mieux, je suis rassuré...

Aléatha acquièce aux paroles d'Edward sans dire un mot et attrape gauchement sa baguette d'une main, l'autre restant toujours sur la chevelure trempée de Cerise, et la tend tout d'abord vers Cerise.

Selfcalor !!

Elle la dirige ensuite vers Edward et répète le sortilège :

Selfcalor !!

Je ne peux rien faire contre un état de choc, mais ça devrait au moins vous réchauffer tous les deux.

Sa voix est redevenue étrangement calme. Elle repense à sa mère qui en de pareils moments étaient toujours d'un calme olympien. D'un ton qu'elle veut le plus doux possible

Edward, ce n'est pas trop le moment de te faire des reproches tu sais.

A ce moment précis, les pensées de Naget éffleurent les siennes. Il est là, tout près d'elle et elle se sent plus forte pour affronter les événements.

Bonjour Professeur ... En effet, Cerise a fait une mauvaise chute. Je crois qu'elle est saine et sauve à présent. Mais je ne suis pas médicomage et je ne sais pas ce qui est le mieux pour elle.

Cerise tremblait dans les bras d'Aléatha, elle avait eut vraiment peur mais cela passait doucement, elle rouvrit les yeux qu'elle avait fermé un instant et souleva un peu la tête, celle-ci lui faisait moins mal pourtant c'est d'un ton calme qu'elle parla:

Je n'ais pas de trauma mais ma tête me fait mal, Aléatha est-ce que tu peux me passer ma baguette s'il te plait?

Alléatha lui tendit et Cerise se pointa la tête en prononçant:

Tetagerusmalis.

Cela lui fit un bien énorme, elle se redressa enfin en s'asseyant quittant la chaleur d'Aléatha mais le sort que son amie lui avait lancé l'avait réchauffé, elle regarda Edward et a son tour une larme coula sur sa joue se mélangeant aux gouttes d'eau de ses cheveux:

Ce n'est pas ta faute, c'est de la mienne... je ...je...

Elle aurait aimé finir sa phrase mais elle ne pouvait pas alors elle le pensa très fort même si elle savait qu'Edward ne l'entendrait jamais.
Je t'aime...

Invité

Il la regarda et dit:

"Je sais...."

Il savait, quelle ne l'aimerait jamais, mais pour lui c'etait impossible, une pensé elui traversa l'esprit:

"Moi aussi...."

Mais il ne pouvait la faire souffrir, une larme passa, mais interieurement c'etait une vrai inondation. Il mourait d'envie de tout lui dire, mais elle ne l'aimait pas autant que Lapin. Interieurement, il se sentait soulagé de l'aimer, même si la réciprocité de cela laissait à desirer. Il devait se retirer et ne plus la faire souffrir, l'idéal pour cela serait de la fuire comme la peste, mais était ce possible. Il se leva et la regarda droit dans les yeux.

Je ne suis pas médicomage non plus, et je ne préfère pas agir si je peux faire autrement. Miss Owlspell, vous devriez aller voir Madame Pomfresh. Elle saura quoi faire. Si vous vous sentez mal, demandez à Mr Farell ou Miss Quindiniar de vous accompagner.

Il fait une pause.

Quant à moi, je vais retourner à mes occupations.

Aléatha, la seule à être toujours au sol depuis qu'elle s'est agenouillée, se relève et regarde tour à tour Cerise et Edward, évitant ostensiblement Naget. Elle reprend doucement sa baguette des mains de Cerise et la range dans le fond de sa poche.

Naget, je n'y comprends rien. Qu'est ce qu'ils ont à pleurer tous les deux ? Attends-moi, qu'ils se débrouillent, je pars avec toi. Je me sens vraiment de trop de toute manière.

Hé bien j'imagine qu'Edward pourra se charger de la mener à Madame Pomfresh. Cerise ? Ca ira ? Ou tu veux que je reste ?

Se tournant vers Naget.

Je crois que je vais repartir avec vous Professeur, j'avais justement des questions à vous poser à propos des sortilèges informulés.

Cerise dit d'une petite voix sans vraiment faire attention à ce qu'elle disait:

Oui ça ira ne t'inquiètes pas, je vais bien.

Je vais bien...

C'était un terrible mensonge elle n'allait pas bien mais cela n'avait rien a voir avec sa blessure a la tête. Son coeur était déchiré, elle rendit son regard à Edward, elle l'aimait au moins autant que Thorus mais Thorus était dans un moment terrible et elle devait etre là, elle ne pouvait l'abandonner, tout ceci était mélangé dans son regard et elle essayait de le faire passer à Edward.
Elle baissa finalement la tête une autre larme dévalant sa joue. Elle fit un geste lent, elle tendit la main vers celle d'Edward, et la prit dans la sienne sans relever les yeux.

Aléatha regarde, incrédule, Cerise prendre la main d'Edward.

Elle est complètement folle ! Qu'est ce qui lui arrive ?

Elle lève les yeux au ciel.

Oh, après tout, elle est assez grande pour savoir ce qu'elle fait, même si c'est complètement insensé.

Très bien, Cerise, je vous laisse : tu sais où me trouver si tu me cherches, bibliothèque bénie. Professeur, je vous suis.

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