L'attente, l'espoir et le vide, la vie, en quelques sortes. [PV Higini]

Poudlard. Le soleil en cette fin de journée décroit petit à petit, laissant un ciel rougeoyant derrière lui. Les nuages sont nombreux, formant un épais manteau protecteur. Dans l’obscurité qui se prépare, quelqu’un avance, pas à pas, d’une lenteur spectrale, vers la forêt interdite.
L’année scolaire n’a pas encore commencé, et voici Axel de retour à Poudlard, sans que jamais il ne s’en soit douté auparavant. Après trois années d’absence, il retrouve sa maison comme s’il ne l’avait jamais quittée. En tant que professeur, il possède certains droits que n’ont pas les élèves, et c’est pourquoi en ce début de soirée il a dans l’idée de faire un tour dans ce lieu qu’il aimait tant gamin : la forêt.

Les raisons qui poussent Axel à avancer ainsi dans la pénombre, retournant voir les dangers de l’interdit de l’époque, sont nombreuses. Bien sûr, il avait envie de revoir ce petit coin de paradis pour tout élève trouvant amusant d’enfreindre le plus possible le règlement. Mais ce ne fut pas la raison première qui permit sa décision. Cette même journée, il avait vu un nouveau collègue, qu’il avait rencontré auparavant dans le bureau de Dumbledore, agitant frénétiquement une petite plume en collier, comme si celle-là refusait de lui obéir. Et Axel la reconnut aussitôt. Son porteur ne ressemblait à personne du groupe, et pourtant… Il est vrai qu’Axel avait de plus en plus de mal à se rappeler les visages de ses camarades, et c’est sans doute cela la vraie raison à ce mouvement.

Axel pénétra dans la forêt, entre les deux chênes, dont l’un avait une marque en forme d’ange, quand on savait regarder. Il marcha entre les bouts de bois morts par terre, les racines, les ronces, toujours tout droit. Naturellement, aucun sentier ne menait la où il voulait aller, et il s’efforçait de ne pas glisser ou faire quelconque action qui lui fracasserait le nez par terre. Bien sûr, il était bien tenté d’utiliser la magie, mais il savait pertinemment que les créatures qui vivaient ici ne l’apprécieraient guère. Il dut alors lutter ainsi pendant prêt d’une heure avant d’arriver à la gigantesque souche d’arbres, entouré de quelques pierres grossièrement déplacés, vestige d’anciennes réunions auquel il avait participé. Grâce au petit trou entre les arbres, causé par l’absence de celui qui résidait ici avant qu’il ne soit coupé, l’endroit était nettement éclairé (par la lune désormais, car la nuit était tombée), tandis que tout autour régnait un froid glacial.

Un silence inquiétant s’installait. Comme la plupart du temps en présence de sorciers, la forêt semblait retenir son souffle, les créatures semblaient attendre indéfiniment de voir ce qu’il faisait ici. Axel s’assit sur la souche, attendant, la main dans la poche intérieur gauche de sa veste, tenant fermement sa baguette, au cas où. Il n’aurait pas aimé user de la magie cette nuit-là, il n’avait pas envie d’exciter les créatures qui attendaient calmement qu’il s’en aille, non loin d’ici, comme à leur habitude. Pendant peut-être une demi-heure, peut-être plus, il resta assis là, en silence, sans bouger ni parler, mais plongé dans ses songes, attendant un arrivée inespérée.

Puis, soudainement, un bruit, sourd, un craquement, et quelques petits bruits de plantes qu’on déplace remplacèrent le silence glacial de la nuit. Axel fut surpris de voir qu’il avait eu raison, qu’ici, à Poudlard, il avait retrouvé sans savoir un compagnon de fortune, de frasques, un camarade de Thibalt qu’il n’espérait jamais revoir. Mais qui était-ce donc…

Il arrive…

Higini regarda le soleil qui déclinait en cette belle fin de journée. Il se promène dans le parc, celui-ci même qui l’a hébergé durant des années. Les nuages commencent à pointer le bout de leur nez. Il avance ; dans la pénombre. Il ne dirige plus ses pas. Il marche sans savoir où il va.

La forêt, ma forêt...

Soudain un flot de souvenir, lui revient à l’esprit toute les réunions nocturnes. Le nombre d’heure de retenue incalculable. Il est revenue sur le terrain de ses exploits. Mais maintenant il ne risque plus rien, il est professeur, il possède un nombre incalculable de droits qu’il n’avait pas à l’époque. Tout est pareil quand il franchit le seuil de ce qu’il aimait tant, tout nan pas vraiment, l‘excitation de se faire prendre n’est plus là.
Pourquoi il continue d’avancer, comment retrouve-t’il ce chemin après des années, des années où il n’est pas passé ici… Tout reviens dans sa tête, les réunions obscures, les rendez-vous mystère et puis aussi suis arrivé.

Je suis là, petite forêt…Tu sais petite forêt, aujourd’hui un homme a éveillé mon intérêt et c’est bien la première fois, qu’un homme me fait autant réfléchir…

Avec un petit sourire, il réfléchit. Il est sûr de l’avoir vue. La plume sa plume. L’autre garçon n’était pas forcément grand, mais il avait un tempérament de sauvage, quelque chose d’animal. Ses cheveux noirs pendaient sur son dos. Il avait quelque chose d’inexplicable…
Il continua d’avancer, un petit craquement lui parvenait aux oreilles. Il s’arrêtait et se calma…

Vieux réflexe de l’époque…

Il approcha de son but, il le sentait la végétation, devenait plus bas, elle n’avait pas eu le temps de repousser depuis le temps. Soudain une branche cassée lui indiqua que quelqu’un venait de passer par là, quelqu’un ou quelque chose. Il posa alors sa main sur sa baguette.
Il trouva rapidement après les deux chênes, l’un avait la forme d’un ange. Il passa outre, les bouts de bois, les orties. Il courait presque il était pressé de retrouver son chez lui. L’endroit où il avait passé le plus clair de son temps étant étudiant.
La nuit était là, jusqu’ici il avait essayé de faire le moins de bruit, mais là il ne pouvait plus réfléchir, il courait. Ses pieds craquaient sur les morceaux de bois séché.
Un silence inquiétant s’installait, brisé seulement par le bruit de sa course folle. Soudain une voix, mais pas n’importe quelle voix celle qu’il a entendue ce matin, dans les bureaux de Dumbledore…

Il arrive…

Rien ne bougeait tout était paisible, les roches brillaient à la lumière de la lune. Un homme sur une souche. Higini pleurait presque. Après tant d’années, rien n’avait bougé, les pierres étaient toujours là…

Plume… C’est toi … Il le regarda. L’homme était de dos, on pouvait voir sa main crispée sur quelque chose.

Alors nous revoilà, comme avant… Il plaça sa petite plume en bois sur son torse…

Combien trois, quatre ans peut être… Comment avons nous...Tous ça m’avait manqué… Pas à toi ?

Higini se cala contre une des pierres. Elle avait été recouverte d’une fine mousse, cela les rendait bien plus confortables…

« Plume… C’est toi … Alors nous revoilà, comme avant… Combien trois, quatre ans peut être… Comment avons nous...Tous ça m’avait manqué… Pas à toi ? »

Bien sûr, il avait eu raison. Seulement, il ne pouvait le croire, il n’arrivait pas à imaginer que tout cela était vrai. L’idée subite qu’il était en plein rêve fit son chemin, mais Axel avait assez de raison pour ne pas y croire. Il ne répondit pas tout de suite à la question, laissant un certain silence, avec un peu de gêne, s’installer. Les quelques mots qu’il prononça ne furent sans doute pas ce que le jeune homme attendait.

Enchevestro.

Immédiatement, des plantes poussèrent sous les pieds de l’importun, montant rapidement jusqu’en haut de ses cuisses. Axel se leva, lentement, se retournant pour voir son vis-à-vis : Fen.

Je pensai que tous nos entraînements auraient au moins pu t’enseigner quelque chose, dit-il dans un soupir. Par exemple, ne pas se révéler ainsi inutilement. Qui sait, j’aurais très bien pu être un mangemort.

Un coup rapide de baguette magique, et les plantes disparurent comme elles étaient venues. Axel s’avança lentement vers celui qui avait partagé ses frasques, rarement ces punitions.

Je me demande toujours comment tu faisais pour échapper aux retenus alors que je me faisais prendre… Tes talents au Quidditch, peut-être ? Je t’ai vu volé, aujourd’hui. Tu es toujours aussi bon à ce que je vois.

L’étrange sensation que ceci : Axel parlait comme si ces deux là n’avaient pas quitté Poudlard, comme si ces trois années ne s’étaient jamais passée, comme si hier, ils n’étaient que de simples étudiants, encore en train de trouver une idée pour enfreindre le règlement. Tout cela était bien étrange, déboussolant, et l’assurance d’Axel ne devait que rendre cette situation encore plus inabordable. Comme dans le bon vieux temps, ils étaient réunis, Fen et Plume, les deux rescapés d’un groupe qui n’était plus. Et pourtant. Oui, quelque part au fond de lui, Axel savait que jamais il ne s’éteindrait. Bien que depuis qu’il avait quitté Poudlard, il n’avait jamais utilisé une seule fois la plume qui restait dans sa poche, prêt de sa baguette, il savait que le clan vivrait toujours.

Comme tu l’as sans doute remarqué, il n’y a pas grand-chose de changé ici. Installe-toi, continua-t-il en montrant un des rochers qui devait encore avoir l’odeur du postérieur de Fen,et dis moi ce que tu es devenu.

Et voilà, la vie continue et pourtant, le passé nous rattrape. C’est souvent sur le chemin où l’on croyait le fuir qu’il y parvient, et son voyage au États-Unis en était la preuve. Trois ans ont passés, trois années où chacun avait vécu sans se soucier de l’autre. Trois années où les deux élèves les plus doués à enfreindre un règlement ne s’étaient jamais revus. Étrange coïncidence qu’ils soient tous les deux professeurs aujourd’hui. Naturellement, Axel eut une brève pensée pour les autres. Peut-être qu’un jour, le destin les rassemblerait à nouveau, un jour comme celui-ci, où la Lune témoigne des retrouvailles les moins attendues.

[i]Higini, attendait une réponse mais rien pas même le moindre signe de la tête.

Et si je me trompais, si ce n’était pas plume mais un autre homme… Soudain la silhouette bougea, il se tourna vers Fen et dit

Enchevestro.

Immédiatement, Higini se trouva bloqué par des plantes, elles grimpèrent sur ses jambes. Il se retrouva complètement impuissant devant son ancien compère…

A quoi tu joue l’ami…

Je pensai que tous nos entraînements auraient au moins pu t’enseigner quelque chose, dit Plume dans un soupir. Par exemple, ne pas se révéler ainsi inutilement. Qui sait, j’aurais très bien pu être un mangemort.

Tu es toujours aussi drôle.. dit-il avec un grand sourire

Plume dégagea Higini de ces plantes maudite. Fen crut qu’il allait tomber au sol, tant les plantes avaient serré ses jambes. Elles ne le tenait quasiment plus.

Je me demande toujours comment tu faisais pour échapper aux retenus alors que je me faisais prendre… Tes talents au Quidditch, peut-être ? Je t’ai vu volé, aujourd’hui. Tu es toujours aussi bon à ce que je vois.

Au mais, je les faisais les punitions, mais pas en même temps que vous c’est vrai. N’as-tu jamais nettoyer les cuisines avec un chiffon. Ceci est une activité très distractive. je n'en ai échapper à aucune. Elle était juste décallé à cause de mais horaire de Quidditch. Il riait d’un rire gêné.

Tout paraissait étrange à Fen, eux deux réunis comme avant, tout ça… Il tournait et retournait la plume dans sa main. Il n’était plus que deux, deux survivants, deux rescapés d’un groupe qui n’était plus. Pourtant fen sentait que jamais il ne disparaître…

Comme tu l’as sans doute remarqué, il n’y a pas grand-chose de changé ici. Installe-toi. Il indique une des roches à Fen.

Higini s’assit donc, là ou quatre année plutôt il avait posé son postérieur... Il fixa Plume, ses yeux étaient doux, rien en lui ne montra son terrible secret… Fen était là sur sa pierre, il prit la parole…

Ma foi mon ami, je n’ai pas changé depuis le temps. Tu as raison, j’excelle toujours en vol, je ne m’appelle pas Fen pour rien. Il sourit. Puis regarda Plume, et tout autour de lui, il baissa légèrement le ton de sa voix…

Te souviens-tu de mon secret. Il semblera qu’il y ait une troisième personne qui ait la fin du secret. Je ne sais pas où la trouver. Il semblera aussi que j’ai eu une sœur, enfin une demi-sœur… Je pense qu’elle a une part de secret …

Il regarda le ciel, les arbres bougeaient au gré du vent. Les étoiles semblaient voilées par un léger nuage.

Et toi quoi de nouveau dans ta vie ? As-tu déjà utilisé la plume ?
Moi une fois seulement, j’étais dans une mauvaise posture et j’ai pensé à vous…

Une larme coula le long de sa joue, il l’essuya rien ne devais paraître.

Comme à son habitude, Higini, surnommé il y a longtemps Fen, prenait ses aises et parlait tout à son aise. Naturellement, il commença rapidement à bombardé Axel de questions, comme celui-ci avait fait quelques instants auparavant. Cependant, Axel n’avait pas une grande envie de répondre. C’était comme souffler sur une braise assez vive, et les flammes jaillissaient.

Oui, je me souviens de ton secret, répondit-il néanmoins, de la même voix calme qu’il gardait toujours, mais j’ignorais que trois personnes en avaient une partie. Il me semblait que tu avais une moitié, par un tiers. Et s’il-te-plait, arrête de m’appeler Plume. Je suis le professeur Kalyll désormais, et tu devrais te souvenir que nous ne sommes plus ces adolescents qui avaient rendez-vous ici. Le groupe n’est plus, Higini, et tu ne t’appelles désormais pas plus Fen que je suis plume.Axel savait que ces paroles étaient un peu dures. Bien sûr, il avait déjà songé à s’enfermer une nouvelle fois dans cette illusion, mais les temps changent, et Higni le savait.

« Et toi quoi de nouveau dans ta vie ? As-tu déjà utilisé la plume ?
Moi une fois seulement, j’étais dans une mauvaise posture et j’ai pensé à vous… »

Non, jamais. Ma plume est restée silencieuse jusqu’à maintenant. Rien ne sert de faire comme si nous étions toujours unis pour elle. Pourquoi as-tu pensé à nous ? Je ne savais pas que… Axel s’interrompit, l’oreille aux aguets, il avait entendu un bruissement, derrière lui, puis un autre. Quelqu’un arrivait, te un bruit sourd le mit sur la piste de « qui ? ». Chut, attends. Ecoutes. Les centaures arrivent.

Comme à leur habitude, les centaures, qui considéraient cette forêt comme la leur, arrivait pour vérifier qui était là, et pourquoi. Il y a de longues années, ils acceptaient les sept adolescents qui parcouraient la forêt, mais maintenant, ils étaient des adultes, des adultes qui n’étaient peut-être pas les bienvenues. Voyons qu’Higini avait la même expression inquiète dans les yeux, il tenta de dire deux mots, pour le rassurer. Il avait déjà rangé sa baguette, sachant que les centaures se sentiraient attaqués, et s’approcha de l’oreille de Fen, pour lui murmurer ces quelques mots.

Ne t’inquiète pas surtout, et pas de bêtises. Essayons d’abord de voir si notre présence est la bienvenue ou non.

Et il se releva, juste à temps pour se retourner et voir derrière lui le premier centaure jaillir dans le petit coin éclairé. Son visage semblait impassible, on ne voyait ni gaieté, ni fureur. Rien ne pouvait laisser présager ses intentions. Très vite rejoins par des camarades, il se retrouva entouré de quatres autres centaures, ave exactement la même expression vide sur le visage. Une délégation, ne put s’empêcher de penser Axel….

Oui, je me souviens de ton rêve,voici ce qu’Axel lui disait, il se souvenait de son rêve. Sa voix était calme, Mais j’ignorais que trois personnes en avaient une partie. Il me semblait que tu avais une moitié, par un tiers. Et s’il-te-plait, arrête de m’appeler Plume. Je suis le professeur Kalyll désormais, et tu devrais te souvenir que nous ne sommes plus ces adolescents qui avaient rendez-vous ici. Le groupe n’est plus, Higini, et tu ne t’appelles désormais pas plus Fen que je suis plume.

Higini sentit une boule lui nouait la gorge, tout ce que venais de dire plume était exacte, il le savait mais ne s’en était jamais persuadée. Il n’osait pas il ne pouvait pas se faire à l’idée que le seul groupe qu’il l’avait regardé pour autre chose que son talent à voler sur un balai, soi tout simplement mort.

Non, jamais. Ma plume est restée silencieuse jusqu’à maintenant. Rien ne sert de faire comme si nous étions toujours unis pour elle. Pourquoi as-tu pensaient à nous ? Je ne savais pas que…

Oh c’était à la fin de nos études, tu sais quand je suis rentré en cata…. Higini vit Axel se tournait dans tous les sens et tendait l’oreille. Il le savait aussi bien que lui, cette forêt nous étions accepté avant mais maintenant…

Chut, attends. Ecoutes. Les centaures arrivent.

Les centaures, qui considéraient cette forêt comme la leur, arrivaient pour voir qui ose les troubler dans leur antre.
Il y a bien longtemps, ils acceptaient les sept adolescents qui parcouraient la forêt, mais aujourd’hui il était des hommes, leur pouvoir était bien plus grand que ce qu’il ne l’était à l’époque. Les centaures ne les accepteraient sûrement pas à moins que… Higini vit Axel se rapprocha et rangea sa baguette, il murmura quelque mot à l’oreille de Fen.

Ne t’inquiète pas surtout, et pas de bêtises. Essayons d’abord de voir si notre présence est la bienvenue ou non.

Higini s’assit par terre et prit un morceau de bois qu’il avait trouvé, il fixa son regard dessus et des millions de penser s’envolèrent.
Il pensa à ces plaines d’Afrique peuplée d’animaux plus rigolos les un que les autres, il se concentra sur un en particulier, un éléphant. Ses mains tournaient autour du bois le faisait se courbai, se redressai.

Ne t'inquiète pas petit, je ne te ferais pas de mal.

De sa main droite, il s’approcha de son éléphant en bois et attrapa sa défense, il la creusa, des strie apparurent sur le dessus. Il attrapa une branche d'un autre arbre et la mêla à la corne. De fine courbe brune clair apparurent alors . Au bout de la défense il colla fit apparaître un bois blanc. L'olifant était prêt.

Il se releva, et découvrit en face de lui quatre ou cinq centaures, ses yeux n’étaient pas encore habitués à la lumière, il venait de passer un certain temps fermé.était tous très grand sans expression. Higini se le va et se dirigea vers le premier. Il mit un genou à terre et tendit l’olifant qu’il venait d’achever.

Veuillez accepter ce présent. Nous ne sommes ni des voleurs ni des pilleurs, juste d’anciens élève qui aimait cette forêt. Nous ne voulons en aucun cas vous soumettre au monde magique. Ce cor sonnera pour vous. J’oublie de me présenter Higini Wayra ou Fen et voici mon ami Axel Kallyl…. Il hésita aller dit-il donner son nom, on il respecterait son choix. Il se tus alors se redressa et donna le cor.
Il retourna s’assoire sur sa pierre et les regarda tous. Les centaures, Axel... L'un des centaures prit la parole.

Nous savons qui vous êtes, nous vous avons reconnu. Nous acceptons ce présent et nous vous en remercions. Mais en ces nouveaux temps aucune paix n'est possible entre sorcier et centaures. A partir de maintenant vous ne devez pas sortir de ce cercle il indiqua les pierres. Sous peine ... Son regard pénétra celui de Higini, il sentit également Axel frémir. Sous peine de lourde conséquence sur vous.

Bonjour, Morrane.

Ce furent les seuls mots qui pouvaient sortir de la bouche d’Axel pour le moment. Les centaures étaient réputés pour ne pas apprécier la venue des sorciers dans la forêt, mais ils y avaient passé tant de temps, depuis la mort de Thibalt, que c’était un peu leur maison à eux aussi désormais.

« Bonjour. »

Pas bavard ces centaures, c’est le moins que l’on puisse dire. Maintenant, après qu’ils soient tous sortis de l’ombre, Axel reconnaissait trois des centaures. Morrane, celui qui s’était avancé, et en retrait restait Cyn et Bayle. Morrane était le chef du groupe, et pouvait se montrer très hostile envers les sorciers. La prudence est mère de sûreté, ne l’oublions pas.

« Veuillez accepter ce présent. Nous ne sommes ni des voleurs ni des pilleurs, juste d’anciens élève qui aimaient cette forêt. Nous ne voulons en aucun cas vous soumettre au monde magique. Ce cor sonnera pour vous. J’oublie de me présenter, Higini Wayra ou Fen et voici mon ami Axel Kallyl…. »

Axel ne s’était pas vraiment occupé de ce que faisait Higini plus loin derrière lui, quand il l’entendit, il fut surpris au plus haut point. La première de ces pensées fut la légendaire « mais qu’est-ce qu’il fabrique ? », mais il ne l’arrêta pas, observant plutôt le comportement des centaures qui leur faisait face. Leur calme et leur mystère étaient incroyables, comme toujours, et aucune émotion ne se dessinait sur le visage.

« Nous savons qui vous êtes, nous vous avons reconnu. Nous acceptons ce présent et nous vous en remercions. Mais en ces nouveaux temps, aucune paix n'est possible entre sorciers et centaures. A partir de maintenant vous ne devez pas sortir de ce cercle. Sous peine ... Sous peine de lourde conséquence sur vous. »

Voyons Morrane, il n’y a aucune guère entre les professeurs de Poudlard et vous. Vous le savez bien mieux que moi, bien entendu, et comme vous l’a dis le professeur Wayra, nous ne sommes pas ces gens du ministère qui ne vous comprennent pas.

« La brillance de Vénus est exceptionnelle, ce soir. Dumbledore est sage, mais nous, les centaures, n’intervenons jamais dans le cycle du destin. »

Et ils tournèrent le dos aux deux sorciers, s’engouffrant dans les arbres, et s’éloignant vers les profondeurs de la forêt. Axel attendit encore quelques minutes, l’oreille aux aguets, pour vérifier qu’aucun centaure ne restait là à les surveiller. Mais il n’y avait aucun son, aucun bruissement, aucune branche cassée sous le poids d’un sabot. Il étaient bel et bien parti.

Parfait, bien joué Higini, remarquable idée. Si j’ai bien compris ce qu’ils ont dit, ils acceptent qu’on se déplace librement. Sous le regard interrogateur d’Higini, Axel prit la peine de s’expliquer. Oui, les centaures sont toujours évasifs, mais je pense que les dernières paroles sont assez réconfortantes. Bon, et après tout, il n’y a qu’un seul moyen de vérifier. Il sortit alors rapidement sa baguette de la poche intérieure de son veston, et s’enfonça dans les taillis, dans la pénombre de la forêt profonde. Il avança de plusieurs mètres, à l’aveugle, et comme il était toujours vivant, cela signifiait qu’il avait vu juste. Il retourna vers la fente lumineuse d’où il venait, et réapparut dans le cercle de pierres et de souches où l’attendait Higini.

Très bien, une excellente chose de faite. Je crois que tu as fait plus que tu ne peux l’imaginer, c’était très réussi. Ils ont compris que tu étais très proche de la nature, de la forêt, et c’est sans doute pour ça qu’ils nous ont acceptés. Félicitations.

Et il s’assit, à l’endroit qu’il avait quitté, pour retrouver un semblant de conversation normale. Il se tourna vers Higini, qui les avait sans doute sauvé, afin de poursuivre leur discussion.

Parle-moi donc de ton secret, j’imagine que tu as dû avancer, depuis que tu as quitté Poudlard.

Taré. Complètement taré. Il avait beau dire tout ce qu’il voulait, pour Higini, si Axel sortait du cercle, il se ferait tuer en quelques instants. Et naturellement, fidèle à sa réputation, celui-ci s’y engouffra, comme si les deux hommes n’avaient pas assez d’ennuis.

T’es dingue ? Ne fais pas…

Qu’importe de continuer ? Axel n’écoutait rien, jamais. Merci Axel ! Quand tu seras mort, ne viens pas te plaindre ! Déjà on ne le voyait plus, et cet idiot allait mourir d’une façon particulièrement stupide. Pas un bruit, plus un bruit. Ca devenait même inquiétant. Sans vraiment sentir qu’il avait le choix, Higini se résigna : il n’allait pas laisser son insouciant d’amis seul dans cette situation, et prit l’initiative de le suivre. Alors qu’il s’apprêtait à lui-même sortir du cercle, Axel ressortait de la forêt, indemne.

« Très bien, une excellente chose de faite. Je crois que tu as fait plus que tu ne peux l’imaginer, c’était très réussi. Ils ont compris que tu étais très proche de la nature, de la forêt, et c’est sans doute pour ça qu’ils nous ont acceptés. Félicitations. »

Euh… De rien. Higini avait été pris de cours. C’est grâce à lui que les centaures étaient partis ? Il était persuadé du contraire. Mais en y songeant, il est vrai que c’est lui qui avait fait le cadeau, et les centaures avaient appréciés.
Oui, bon, mais tu aurais pu te faire tuer ! Ne recommence pas ça, j’étais presque prêt à aller te secourir…

Oui, enfin faut pas exagérer quand même...

Axel retournait s’asseoir, Higini le suivit. Il fit quelques pas, pour retrouver la pierre encore chaude qui l’attendait, tout en continuant de bavarder avec son ami.
On est trop fort, quand même. Ils auraient pus être des centaines que les centaures n’auraient rien f…

VLLLLAN ! Les pieds dans une racine, la tête la première, Higini s’étale par terre de tout son long. Mais qui pouvait bien les mettre ici, ces maudites racines ? Les arbres le faisaient exprès ?? Un bon coup de pied leur ferait du bien, à ces bestioles enragés ! Higini releva la tête, encore ramassé sur l’herbe humide, pour regarder Axel qui avait du mal à contenir son rire.

Rigole, et je te jure que je te tues.

Higini se releva alors, dépoussiérant ces vêtements qui avait pris un sacré coup. Après un regard noir pour l’arbre qui avait osé laisser traîner sa racine (Salp*rie !), il répondit à la question que lui avait posée Axel.

Mon secret ? Ouais, j’ai avancé, mais c’est trop long à expliquer. Je t’en parlerai plus tard...

Il s’avança alors pour se rasseoir, enfin, comme il avait prévu. Tout en surveillant bien où il mettait les pieds, il entreprit d’en dire un petit peu plus à Axel quand même.

Tu sais, ce secret, je me demande vraiment ce qu’il y a derrière tout ça. Peut-être qu’il faudra faire des recherches particulières, mais ce n’est peut-être pas le moment. Qu’est-ce que tu faisais avant ? Tu ne m’as pas répondu.

« Qu’est-ce que tu faisais avant ? Tu ne m’as pas répondu. »

Et bien, Higini s’avérait encore une fois insistant. Axel ne voulait pas vraiment répondre à ce genre de question, sa confiance était rare, et même à Higini qui l’a méritait sûrement, il évitait de divulguer des informations sur son compte. Mais il le savait ; tant qu’une vraie réponse n’était pas obtenue, complète, il n’aurait de cesse de le demander. Axel se résigna donc, et commença son récit.

Avant ? Tu veux dire depuis que j’ai quitté Poudlard ? Il s’est passé beaucoup de choses, et j’espère que tu es prêt pour une longue histoire. Tu dois te souvenir que j’étais excellent à Poudlard, bien souvent meilleur que ceux qui avaient plusieurs années de plus que moi. Et bien j’ai eu d’excellents résultats aux ASPICs, comme tu devais t’en douter. Pourtant, ça ne m’a pas vraiment aidé. Je suis allé aux États-Unis, juste après avoir reçu mon diplôme. Rien ne me retenait en Angleterre, et je pensai que voir du pays me ferait du bien. J’ai mis un an à trouver du travail, malgré mes diplômes, et ce fut une année difficile. Je pense que je peux te le dire… J’ai fait des travaux qui n’étaient pas très légaux, si tu vois ce que je veux dire. Ensorcèlement, trafic, tu vois le genre. Je n’étais qu’un larbin, mais j’ai petit à petit monté en grade. Ensuite, je suis devenu professeur de métamorphose à l’académie de Washington, et je continuai parallèlement ma seconde vie, tout un art. Ne me regardes pas ainsi, tu sais bien comme j’apprécie l’interdit, tu en as longtemps été témoin ! Enfin bref, après deux années d’enseignement, j’ai été renvoyé, et il ne me restait plus qu’à continuer d’avantages ma première occupation. Seulement, je ne l’appréciais plus vraiment, et je suis revenu à Londres, où mes anciens collègues n’iraient pas me rejoindre.
Ensuite, tu connais l’histoire : je suis arrivé à Poudlard, avec un double enseignement, et je suis bien décidé à garder ma place.

Axel avait tout débité d’une traite, ne s’arrêter que pour une brève respiration. C’était un exercice qu’il n’appréciait guère, mais Higini serait sans doute reconnaissant de voir ainsi la confiance d’Axel placée en lui. Après tout, de tous ceux du clan, c’était peut-être celui qu’Axel appréciait le plus, si ce n’est la petite. Alors oui, il méritait d’en savoir plus, il méritait qu’Axel sorte de son éternel silence.

Voilà, tu sais tout. J’espère que ça te suffit, car je n’ai rien d’autre à raconter.

Trois ans les avaient séparés. Trois longues années où ils ne s’étaient jamais revus. Quelle étrange coïncidence, pour qu’ils se retrouvent ainsi ? Ils se voyaient comme s’ils s’étaient quittés hier, reprenant certaines habitudes, reprenant certains gestes. Trois années, ce n’est rien, comparé à l’existence. Axel, à ce moment là, était heureux. Heureux de retrouver un vieux camarade, heureux d’avoir quitté sa solitude l’espace d’un instant, heureux d’avoir en face de lui quelqu’un en qui il pouvait avoir confiance, avec qui il pouvait partager, pour la première fois de sa vie, heureux de revenir sur le lieu de son enfance, heureux de retrouver le passé où il avait le plus souvent éprouvé le bonheur.

Et toi ? Tu as dû en faire aussi, des choses, depuis Poudlard. Sauf si tout ce que tu as fait concerne ton secret ? Parce que si c’est le cas, je comprends que tu ne veuilles pas en parler tout de suite ; avec trois ans à trouver des informations sur le sujet, une nuit ne suffirait pas à tout me dire, je me trompe ? Mais tu as bien dû faire autre chose. Tu étais très doué au Quidditch, si ma mémoire est bonne, et il me semble que tu rêvais d’en faire ton métier. Qu’est-ce que tu fais à Poudlard, alors ?

Quand il était étudient, Higini se sentait particulièrement proche d’Axel, comparé aux autres du groupe. Pourquoi ? Il ne saurait. Peut-être était-ce son aspect mystérieux qui l’avait attiré à l’époque, ou bien sa manie de toujours resté seul. Quoi que ce soit, il a toujours eu la conviction que s’il avait besoin de lui, il serait là. C’était d’ailleurs le but premier des plumes qu’ils gardaient tous précieusement, pouvoir toujours être là quand quelqu’un en a besoin. Pour la première fois, Higini s’en rendait compte, Axel lui avait vraiment révélé quelque chose.

Pas trop tôt, remarques…

Axel contournait toujours ses questions, sans jamais y répondre vraiment. Pour une fois, il n’avait pas trouvé d’excuse bidon pour éviter une nouvelle fois l’interrogation, et tant mieux !

« Ne me regardes pas ainsi, tu sais bien comme j’apprécie l’interdit, tu en as longtemps été témoin ! »

Ouais, je sais ! Et d’ailleurs c’était vachement fun !

La réplique la plus sensée qu’il ait jamais sorti. Ah, l’humour, quand tu nous prends !

D’ailleurs je me referai bien une petite virée, si je n’étais pas professeur…

Stop la galère, stop les punitions, il pouvait désormais tout faire, ou presque. Même pas marrant…

N’empêche, je savais pas qu’il avait fait autant de choses… Normal, puisqu’il vient de me le dire, mais quand même !

« Et toi ? Tu as dû en faire aussi, des choses, depuis Poudlard. Sauf si tout ce que tu as fait concerne ton secret ? Parce que si c’est le cas, je comprends que tu ne veuilles pas en parler tout de suite ; avec trois ans à trouver des informations sur le sujet, une nuit ne suffirait pas à tout me dire, je me trompe ? Mais tu as bien dû faire autre chose. Tu étais très doué au Quidditch, si ma mémoire est bonne, et il me semble que tu rêvais d’en faire ton métier. Qu’est-ce que tu fais à Poudlard, alors ? »

Le Quidditch ? Ouais, bien sûr que j’ai continué, qu’est-ce que tu crois ?

Higini saisit une grosse pierre par terre, après une idée éclaire lui ayant traversée l’esprit, coupant nette la conversation. Une pierre lourde, très lourde, trop lourde. L’effort pour la soulever était énorme, et il avait l’intention de jouer avec. Difficile…

J’ai une idée !

Il sortit sa baguette, la pointa sur le rocher et… Reddo Levis !

Et voilààà !

La pierre était maintenant légère comme une plume. Il put la prendre tranquillement pour s’en servir de souafle, et la lancer dans tous les sens, reprenant la conversation comme si de rien n’était.

Comme tu le vois, je n’ai pas perdu la main ! Mieux encore, je suis capitaine de l’équipe de Cataluny’a, qui vient d’être homologué pour la coupe du monde, tu te rends compte ! On est en pleine qualification, et y’a intérêt à ce que tu viennes quand on sera en finale !

Le Quidditch, une passion qui dure depuis longtemps, et c’est là qu’Higini était le plus doué. Il adorait sentir le vent fouetter son visage, lorsqu’il volait à pleine vitesse sur le balai de sa conception.

Tu sais, être joueur professionnel n’empêche pas d’avoir un autre travail. Les entrainements sont le soir, et c’est moi qui organise, alors aucun problème ! Et puis c’est quand même mieux d’avoir un salaire fixe à côté…

Et puis bon, ça pait pas si bien que ça, le Quidditch, faut bien que je trouve un moyen pour manger…

Quel imbécile, ne pouvait s’empêcher de penser Axel. Higini mettait toute son âme à l’épreuve pour soulever un maudit caillou. Pourquoi faire ? Il n’en savait rien, mais il n’était pas rare que son désormais collègue ait ce genre d’idée stupide. Et dire qu’un sortilège de lévitation aurait suffi… Qu’importe le moyen, Higini parvint à soulever cette pierre exceptionnellement intéressante, et pour quoi faire ? Mumuse. C’était vraiment un personnage étrange, ce Higini… Toujours imprévisible par nature. C’était peut-être même sa plus grande force : même les plus grands stratèges ne pouvait deviner ce qu’il allait faire, car lui-même l’ignorait.

Cataluny’a ? Connais pas. C’est une équipe de ton pays, je suppose ? Je suis contant pour toi, tu fais ce que tu as toujours voulu au moins… Regarde, moi. Pensais-tu un jour que je deviendrai enseignant ? Ou encore que je jouerais dans l’illégalité ? Je m’attendais à mieux, à plus… grand. Mais qu’importe, le présent est ce qu’il est, et il faut savoir l’accepter.

A poudlard, Axel s’imaginait haut fonctionnaire au ministère, grand Auror, où digne représentant de son pays. Il n’était rien de cela, mais un professeur, d’une école réputée et prestigieuse certes, mais si loin de son rêve. Qu’avait-il fait de sa vie ? Rien. Mais qu’attendait-il pour faire plus ? Rien. Etrange comme on se contente de ce qu’on ne veut pas. Il appréciait son travail, bien sûr. Eduquer les enfants était devenu une de ces spécialités, mais il rêvait vraiment d’autre chose, mieux, plus adapté à son ambition, à ses talents. Car il en avait, des talents, du moins le pensait-il. Toujours excellent en métamorphose, sortilèges, enchantements, potions, il avait tout pour lui. Mais était-il si brillant que ça ? Lorsque le doute nous assaillit, notre force s’évapore, comme si elle n’avait jamais existé.

« Pourquoi tu te transformes ? »

« Désolé, mais j’ai besoin d’être seul. On se retrouve au château. Encore bravo, à plus tard. »

Higini avait déjà eu affaire à ce genre de comportement, il arrivait souvent à Axel à l’époque de se transformer en loup pour passer la nuit dans la forêt. Il cavalait, dans ces moments de tristesse. Lorsqu’il courait sous sa forme animale, il se sentait libéré de ses doutes, de ses problèmes. La forêt, quand il était ainsi, lui appartenait. Le loup sommeille en lui, toujours prêt à regagner sa place. Le jeune loup solitaire, couleur de cendre, était bien plus présent dans son corps et son esprit qu’il ne pouvait l’imaginer. Qu’en est-il de nos peurs ? Peuvent-elles ainsi s’éveiller en nous, comme la force instinctive de l’animal ? Axel cavalait, sans cesse. Rien n’aurait pu l’arrêter pour oublier la tristesse de son échec. Car Axel n’était pas de ceux qui avent accepter l’échec, le dépasser, s’en relever plus fort. Son orgueil lui interdisait, mais qui ne tombe jamais ? Un jour, lui aussi devra reconnaître ses échecs pour avancer, ses faiblesses, à ses dépends. Lui aussi verra un jour sa fierté entachée par la honte. Le temps s’allonge et jamais ne s’arrête. Il est temps de fermer l’acte et de rentrer.

HJ Rp terminé x) HJ

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