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 A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]

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Aria Joanne Parker
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Aria Joanne Parker


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MessageSujet: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyVen 27 Fév - 23:35

Il faisait à peine jour et pourtant, une jeune fille était dehors profitant de la fraîcheur d’une matinée d’automne prés d’un lac. Le vent caressait sa peau, elle s’allongea sur l’herbe et ferma les yeux. Elle ne pensait à rien d’autre qu’au moment présent. La demoiselle était chez elle. Dans un endroit qu’elle appréciait énormément. La proximité de l’eau la rendait encore plus sereine. Elle caressa la surface d’un lac d’une main sentant le froid sous sa peau. Un léger frisson la secoua. Quelques gouttes tombèrent sur le joli visage de la gryffon.

D’un coup, la demoiselle aux cheveux d’or se leva et sortit une lettre de sa poche. Une lettre d’une inconnue qui avait réussie à savoir ou elle était. Elle ne l’avait pas encore lue. Par peur ? Non sûrement pas. Peut-être parce qu’elle savait que son contenu allait la surprendre. Sa demi-sœur avait pris contact avec elle alors qu’elles ne s’étaient jamais vues. La lettre datait depuis deux semaines au moins. Mais jamais elle n’avait pris le temps de lire son contenu. Trop prise par ses études du moins c’est ce qu’elle voulait faire croire. Mais aujourd’hui, c’était différent. Sa sœur avait fait le premier pas, à elle d’apporter une réponse positive ou négative. C’était une occasion unique de faire renaître le clan des Parker.

Ses mains sortirent le papier de l’enveloppe et c’est avec une extrême curiosité qu’elle commença à lire le parchemin qui lui était adressée. Au fur et à mesure de sa lecture, ses yeux s’agrandirent et l’excitation grandissait de mots en mots. Parfois la colère, l’excitation, la compassion se mélangeait. Tant de sentiments pour une unique personne. Elle voulait la connaître. La sorcière n’avait même pas terminée sa lecture qu’elle voulait déjà rédiger la réponse. Ainsi elle était un peu comme elle. Regrettant les absences répétées de Kelsey Parker, de sa mère. Ainsi cette pauvre femme avait fait subir le même traitement à celle qui possédait le même sang que Aria. Papillonnant à droite, à gauche. Sans se rendre compte du mal qu’elle faisait autour d’elle. Depuis la mort de son père, la jeune femme s’était convaincue que sa mère était l’entière responsable de ce laisser-aller de la part de son père. Eux qui étaient une famille si unie avait été détruite à cause des nombreuses infidélités de sa mère qui n’était pas capable de rester deux jours sans avoir sa part de plaisir. Une séductrice qui n’avait pas le cran d’assumer son rôle de mère, une éternelle adolescente qui cherchait le grand amour.

Elle la détestait et elle savait que jamais elle ne lui pardonnerait. Elle aurait préférée que ce soit elle qui meurt d’un cancer plutôt que son père même si l’état de ce dernier s’était empiré avant sa mort brutale. Elle avait eu le cœur brisée quand elle appris la nouvelle mais ne l’avait jamais montrée. La tristesse c’est pour les faibles et elle ne veut pas être faible. Il n’y a que quand elle est seule qu’elle se laisse aller. Aria se leva après avoir fini de lire et trempa ses pieds dans le lac. Elle allait finir par tomber malade mais elle s’en fichait. Rien, ni personne ne viendrait troubler sa méditation matinale. A moins que quelqu’un aime aussi les promenades matinales et vu le nombre de personnes différentes qui étaient réunis dans Poudlard, c’était fort possible.

De nouveau elle ferma les yeux et se laissa tomber, écoutant les moindres petits bruits rappelant la nature. Elle se laissa guider par les mugissements du vent. Ses pieds baignant dans l’eau, ses mains courant sur l’herbe. Un soupir d’allégresse, de sérénité, de bonheur se fit entendre avant que le silence reprenne ses droits et qu’il soit de nouveau interrompue par une personne…
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Rudolf Himmer
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptySam 28 Fév - 16:46

Cette fois-ci, c'était près du lac que la balade se faisait. D'habitude, c'était le parc, ou la forêt interdite, ou bien même les montagnes. L'eau, sans doute, avait fait la différence. La mer manquait au jeune garçon. A vrai dire, c'était plus une soif visuelle qu'autre chose. Le souvenir des vagues submergeant le sable, c'était cela qui l'avait décidé. Un doux air de nostalgie s'était emparé de tout son être, et ses pas s'étaient dirigés vers cet endroit si tranquille et beau. De toute manière, chaque lieu dans l'école cachait quelque chose de beau, pourvu d'un charme, d'une splendeur. La question revenait sans cesse depuis quelques temps: qui avait bâti ce lieu, ce bâtiment? Etait-ce sorcellerie ou bien un vrai château. Comme lui, presque personne ne semblait le savoir. C'était si intrigant...

Rudolf était donc en petite promenade, le long du lac. S'il était là, c'était parce que le grand brun méditait. Sa réflexion se portait sur son avenir, sur ce qui lui arriverait après son départ de Poudlard. A chaque fois, aucune réponse ne venait. C'était le noir total. Il y avait aussi Medisse. Elle n'était toujours pas là, et l'impatience de l'américain avait ses limites. Attendre, cela devenait si monotone et lassant. Lassé n'était pas le seul sentiment que ressentait le garçon. Il y avait aussi la mélancolie, le stress de ne jamais la revoir, la peur aussi. Rien ne pouvait le rassurer. mais ce qui dominait était l'amour, car c'était sa moitié qui avait disparu. En y repensant, l'orphelin ne savait pas où elle était. Que faisait-elle? Peut-être se promenait-elle, cueillant des fleurs sur son passage, et repensant à la douce idylle qu'elle avait vécu. Ou bien encore rêvait-elle de son retour. car celui-ci allait sans doute être programmé. Elle ne pouvait rester si longtemps loin de ce lieu magique. Peut-être l'avait-elle oublié, lui, le prétendant à son coeur. Mais ça, le Poufsouffle ne pouvait y croire. C'était juste impossible. Comment ne plus penser à ce qu'ils avaient vécu? Il y avait de si belles choses qu'ils avaient fait ensemble. Et pourtant, le couple n'avait jamais pris le temps d'aller près du lac. C'était un endroit tranquille où personne ne venait chercher les embêtements. Seuls des élèves cherchant le calme se baladaient. C'était aussi une des raisons pour laquelle il était là: être tranquille pour réfléchir.

Son regard se portait partout. Le jour perçait à peine. l'empire nuptiale portait encore sur le paysage sa vaste domination. C'était à très petite vitesse que ce ciel noir se retirait. Alors, les yeux curieux du jeune homme parcouraient ce spectacle avec envie. Cela le fascinait tellement, mais cette fois-ci ne lui inspirait rien. Son esprit d'habitude si perspicace, déductif, était occupé à d'autres sujets. Finalement, le garçon se désintéressait peu à peu, ce n'était pas ce qui se passait d'habitude. Avant, il écrivait alors un poème tranquillement, les mots venant seuls, vite. Mais là, rien ne venait, c'était bouché. Oui, quelque chose obstruait l'inspiration du Poufsouffle. Lorsque Rudolf se prépara à détourner son regard vers ses pieds et à faire demi-tour car il n'arrivait pas à réfléchir, l'américain vit une fille assise, et, malgré le froid, les pieds dans l'eau. L'orphelin ne s'attendait pas à voir quelqu'un à cette heure-ci, mais cela ne le gênait pas pour autant. Au contraire, cela ne lui faisait ressentir aucune émotion. Rudolf se préparait à rependre son chemin lorsqu'il se demanda à quoi cela servirait de rentrer au dortoir pour ne rien faire. Après tout, c'était aussi bien d'observer le lever du soleil. Alors, il se dirigea vers l'étrangère qui ne bougeait pas. Cela activa un peu la curiosité du jeune homme qui s'approcha encore et s'assit finalement à ses côtés, sans mettre les pieds dans l'eau, ne voulant pas être malade. Là, il regarda droit devant lui, ne savant s'il devait parler et gêner l'inconnue. Finalement, la curiosité l'emporta, peut-être que le naturel reprenait le dessus.

A quoi réfléchis-tu en ce lieu si magnifique?
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Aria Joanne Parker
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptySam 28 Fév - 19:18

Aria finit par plonger dans un demi-sommeil. Le clapotis de l'eau était entraîne de la bercer à tel point que les bras de Morphée finirent par l'accueillir, du moins tentèrent. Car à l'instant même où le sommeil la gagna, quelque chose la réveilla. Un bruit suspect, des pas, elle ne savait pas qui mais une chose était sur, quelqu'un était au même endroit qu'elle. Elle se remit en position assise et jeta un coup d'oeil derrière elle pour voir qui était là. C'était un garçon et vu les couleurs qu'il portait, il n'y avait aucun doute qu'il venait de Poufsouffle. Un fin sourire s'empara de son visage quand elle remarqua qu'il s'approchait d'elle. La demoiselle fit comme si elle n'avait rien remarquée et attendit que le silence se brise, ce qui arriva par une simple question. A savoir a quoi pensait elle en cet instant ?

La jeune femme attendit un petit moment avant de répondre, réfléchissant à ce qu'elle pourrais dire sans non plus en dévoiler trop. Elle n'avait aucune envie de se dévoiler d'un coup à un garçon qu'elle venait juste de rencontrer et dont elle ignorait tout de ses attentions. Les apparences sont trompeuses, elle le savait. Elle se leva et posa ses pieds dans l'herbe avant de s’installer sur le bois dur du banc le plus proche, d’un geste, elle invita l’inconnu à venir prés d’elle sans savoir si oui ou non, il allait s’exécuter. Puis elle fixa un point invisible dans le ciel et commença à parler


« A quoi je réfléchis ? À plusieurs choses et en particulier, à quelque chose d’important liés à mon avenir et à ma famille. Je suis venue ici, à cette heure si matinale pour prendre une décision. Je pensais que ce serait la seule à me promener alors que les lueurs du soleil commence à peine à se dévoiler…mais visiblement je me suis trompée. Tu es la preuve vivante que je ne suis pas la seule à m’aventurer à l’extérieur du château aux aurores. Mais toi que viens tu faire là ? Et d’ailleurs qui es tu ? Je ne t’ai jamais croisé dans les couloirs du château…Je me nomme Aria Joanne Parker mais appelle moi Aria, c’est plus simple »

Elle ne savait pas si le garçon allait rester auprès d’elle ou si il allait s’en aller dans la minute qui suivait mais à vrai dire, elle s’en fichait. Il avait engagé la conversation, la logique voudrait qu’elle réponde, elle avait répondu. Elle toucha le dos de la lettre avant de la remettre dans sa cachette. Même si elle savait que le jeune homme n’en avait sûrement rien à faire de ce papier, elle préférait prendre toutes les précautions nécessaires. Ses yeux se posèrent sur la surface plane du lac avant de les tourner vers le jeune homme. Son visage la frappa, il était dur. Apparemment son passé n’avait rien de féerique non plus. Avait il lui aussi connu la mort ou l’abandon dans sa famille ? Avait il subi la compagnie de parents là physiquement mais complètement ailleurs psychiquement ? Après tout le malheur touchait bons nombres de familles, bons nombres d’enfants. Pourquoi n’en ferait il pas partie ? Ces êtres qui possédaient tout pour être heureux mais qui ne l’étaient pas. Ces parents qui avaient tout pour se réjouir mais ne le faisait pas.

« Ton visage témoigne d’un passé peu joyeux et je ne peux m’empêcher de me poser une question…Fais tu toi aussi partie de ces êtres qui avaient tout pour être heureux mais qui ne l’étaient pas ? Ou alors n’as-tu jamais eu une seule occasion d’être heureux ? Je peux tenter de te comprendre…Après tout, à quoi cela sert il d’avoir toujours un sourire au lèvres alors qu'on est pas si heureux que ça ? Personnellement, les gens qui rigolent tout le temps…ça m’insupporte ! »
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Rudolf Himmer
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyDim 1 Mar - 9:57

Oui, le sommeil semblait s'être emparé d'elle. Ou alors, elle venait juste de s'endormir. Rudolf attendait sa réponse en restant assis, toujours à fixer un point au loin que jamais il ne pourrait atteindre. Cela lui faisait penser au mystère de Medisse qu'il ne pourrait jamais résoudre... Ce n'est pas une réponse qui vint tout d'abord mais une invitation à s'asseoir à ses côtés. Le garçon avait regardé comment elle se comportait lorsqu'elle s'était levée. Apparemment, la joie de vivre ne l'habitait pas cette matinée-là. peut-être était-elle venue méditer tout comme lui. Cela serait alors une rencontre entre deux êtres mélancoliques... Le jeune homme accepta la requête de la jeune femme et s'assit à ses côtés, doucement, après s'être levé. Dès qu'il eut trouvé son nouveau siège, le garçon refixa le même point invisible. Finalement, son regard se posait très peu sur la douce compagnie à ses côtés. Car, si le Poufsouffle la regardait, c'était Medisse qui lui apparaissait. Il n'arrivait plus à se détacher de cette apparition. Ses rêves se composaient d'elle. Lors de ses cours, son attention était minime, ses pensées allaient ailleurs que vers le cours. Vraiment, son humeur de la dernière semaine était tout sauf bonne. Ce n'était pas la colère qui l'emplissait mais le souvenir de tant de bons moments passés...

La voix de celle qui le côtoyait le réveilla, ou plutôt le sortit de ce à quoi il méditait. Le grand brun avait presque oublié celle avec qui la conversation s'était engagée. L'américain avait vu juste. Elle aussi méditait. De toute manière, quand on se trouvait à cette heure-là assis et immobile, ce n'était pas pour finir sa nuit ou faire ses devoirs. Cela se voyait qu'elle était là pour réfléchir. Elle lui posa plusieurs questions qui ne gênaient pas du tout l'orphelin. Très vite, sa réponse arriva.

Je réfléchis à mon avenir aussi, tout comme toi, mais pas pour des raisons familiales. Moi aussi, je croyais être seul... Mais il apparaît que toute réflexion doit se faire ici. Nous avons eu la même idée. Peut-être qu'un autre élève va faire son apparition pour autre chose, mais je n'ai vu personne dans le coin mis à part toi. Je ne t'ai jamais vu, ou alors je n'ai pas réagi quand je t'ai aperçu dans les couloirs. Il y a tant d'élèves ici... Mon nom est Rudolf Himmer. Ravi de te connaître, Aria.

Rudolf remarqua que la jeune femme l'observait. c'était lui d'habitude qui regardait les personnes ainsi. Mais là, le garçon voyait que c'était sur son visage que son regard s'accentuait. Rares étaient les personnes qui le regardaient ainsi. Pourtant, cela ne le fit pas rougir, et ne le gêna pas du tout. La question qui survint confirma ce qu'il ressentait. Elle s'interrogeait sur lui et ce qu'il était vraiment. Pour bien l'écouter, le grand brun se tourna vers elle et la regarda dans les yeux, pour bien se concentrer. Le garçon savait qu'il avait un visage assez dur mais pas jusqu'à justifier un passé douloureux. Les questions évoquaient bien son passé. Cela ne lui faisait rien d'en parler, c'était assez naturel maintenant. cela ne servait à rien de le cacher.

J'ai tout eu pour être heureux jusqu'à mes huit ans, et je l'étais. Mais les rpoblèmes qui sont survenus dans ma famille m'ont changé. Je n'avais plus rien mais le désespoir ne m'emplissait pas. J'étais surtout lassé de la situation dans laquelle j'étais. Mais j'avoue que j'ai retrouvé ce bonheur lors de mon entrée à Poudlard, mais là aussi le malheur m'a frappé et je me suis retrouvé désespéré cette fois-ci. Le sourire aux lèvres n'est pas toujours à prendre au sérieux. Quelquefois, cela témoigne une envie de bonheur alors qu'on le sait impossible. Moi, les gens comme cela qui sourissent, je ne les exècre pas, mais ils m'inspirent la pitié. Et toi, le bonheur te touche-t-il, ou t'a-t-il atteint?

Le sujet de discussion semblait bien étrange pour deux élèves qui ne se connaissaient pas mais pourtant, cela ne déplaisait pas au jeune homme. Ce n'était pas non plus un plaisir de parler de cela, mais cela libérait un peu la conscience du garçon. C'était soulageant de parler à quelqu'un lors de ces temps difficiles.
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyDim 1 Mar - 11:50

Comme elle avait prédit, le jeune homme accepta son invitation et s'installa à ses cotés. Mais pas un regard, pas un geste pour elle comme si le garçon était seul, il recommença à fixer un point invisible dans le ciel. Ainsi il était là comme elle pour réfléchir à son avenir, à des choses importantes. Ce lieu était un véritable havre de paix pour toutes les personnes souhaitant se remettre en question ou réfléchir, du moins quand il n’y avait personnes dans les environs. Un matin d'automne dans une fraîcheur certaine, il était normal de voir que personne hormis les deux êtres installés sur le banc n’était dehors. Même si le jeune homme soulevait l'idée qu'une autre personne vienne à leurs rencontres, elle se doutait que ce ne soit pas le cas et elle l'espérait. Même si elle ignorait tout de cet homme, elle appréciait sa compagnie.

Oui c'est vrai, il y a énormément de personnes différentes réunies en cet endroit. Des personnes si différentes qui arrivent tant bien que mal à cohabiter. Il est difficile de rester seul pendant ces sept années ici tant le nombre d'élèves est grand. Certaines rencontres sont appréciées d'autres non. Une chose est certaine, je suis contente de te connaître.

Elle avait beau ne pas le montrer tout de suite. Aria appréciait la compagnie tout comme, par moment, appréciait la solitude. Tout dépendait de son humeur, de ce qu'elle avait à faire. Certes un bon nombre de personnes qui s'apprêtent à méditer préfèrent rester seuls mais quand la réflexion va dans la même direction tout va pour le mieux. Elle resta un moment à ne rien faire, à ne rien dire à part écouter. Le poufsouffle reprit la parole tentant d'apporter une réponse à la question de la gryffondor.

La joie, il aurait pu y goûter mais tout comme elle, certaines choses avaient échappés à son contrôle. Quoi ? Elle l'ignorait et à vrai dire, elle ne tenait pas à savoir tout de lui. Peut-être plus tard mais certainement pas dans l'immédiat. Une de ces phrases l'interloqua et elle comprit qu'elle s'était mal exprimée et prit la parole.


Ce n'est pas que les gens qui ont toujours le sourire aux lèvres m'exaspèrent, c'est le fait que les gens rigolent alors qu'il n'y a rien de drôle dans ce qu'ils disent. Certes certains ont de quoi être heureux, je ne les blâme pas. Il m'arrive de ressentir une certaine envie ou jalousie mais c'est tout. C'est les gens qui sont toujours souriants, toujours heureux...A quoi ça sert de cacher qu'on est malheureux ? Autant le montrer tout de suite. On peut passer par tant d'émotions différentes pourquoi seulement se limiter à la joie et au bonheur ? Sinon pour répondre à ta question, oui le bonheur m'a atteint quand j'étais toute petite mais personne n'a su en profiter...Tout le monde a ruiné sa vie. Le bonheur recommence à s'emparer de mon être de temps en temps mais le malheur aussi. Mon passé n'a jamais été très heureux, c'est pour cela que je préfère vivre dans l'avenir et oublier mon passé. Pourtant, j'ai beau faire tout les efforts possibles, certaines choses sont ineffaçables, inoubliables.

Sa confession l'étonna, jamais elle ne pensait qu'elle arriverait à se libérer si facilement mais ça lui faisait tellement de bien. De se confier à quelqu’un qui était en mesure de ressentir les mêmes choses ou du moins approximativement qu’elle, de les comprendre
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyDim 1 Mar - 13:30

Une petite brise se répandait partout. Mais c'était encore imprégné de l'été en partie, car ces petits coups de vent faisaient émaner un douceur qui ne pouvait que faire du bien. Cela confirmait le souhait de rester à discuter. Car c'était une conversation très intéressante, où les deux jeunes gens semblaient avoir des idées assez semblables et une vision du monde normale, pas comme ceux qui voient un monde idéaliste. Et cela plaisait à Rudolf. Dans Poudlard, peu d'élèves étaient comme cela, dotés d'un esprit perspicace et, surtout, objectif. Et là, le garçon avait la chance d'être à côté d'un de ces rares élèves. Il ne voulait pas éviter une telle chance et ne pas regretter d'être parti après. De plus, lorsqu'elle parlait, le ton de sa voix rendait l'écoute très agréable et on ne pouvait avoir envie que de discuter. C'est pour cela qu'il reprit la discussion.

Oui, il y a toutes sortes de personnes étudiant ici. malheureusement, il y a beaucoup gens trop banals, qui suivent les autres et ne se forgent pas leur propre opinion. Cela me désole, car alors nous pourrions tous nous entendre. Bien sûr, il y aurait quelques disputes mais cela serait si bien... oui, pour rester seul pendant sept années ici, il faut vraiment aimer la solitude et se cacher dès que l'on voit quelqu'un. Je crois très peu de personnes toujours seules. Ici, être toujours sans ami avec qui discuter, c'est comme foncer droit dans un mur. On peut alors louper ses études et, malheureusement, on ne revient pas en arrière ensuite. Moi aussi, cela me plaît de t'avoir rencontré. Dire, qu'à la base, j'étais venu avec l'idée de ne rien faire et me promener seul... J'ai même failli faire demi-tour mais j'ai préféré te parler, ce que je ne regrette pas du tout.

Les réponses de l'américain semblaient faire bien réfléchir la jeune femme. Lui aussi réfléchissait beaucoup aux paroles de celle qui était à côté de lui. Ils parlaient là de la vision de l'homme dans le monde. Tout élève banal parlerait d'autre chose, mais là ce n'était pas le cas. Les présentations avaient été brèves entre deux. On s'était contenté du prénom et du nom, et on s'était arrêté là. Pourtant, ce n'était pas parce que les deux élèves ne s'aimaient pas ou ne s'appréciaient pas, c'était parce qu'ils voulaient discuter de choses sérieuses. De toute manière, ils étaient là pour des choses compliquées, et pas pour s'amuser. L'américain observa le visage de la jeune femme. A sa grande surprise, celui-ci possédait des traits parfaits. Mais c'était ses yeux surtout qui captivait son regard. Ils étaient d'un bleu intense qui la rendait plutôt persuasive et, surtout, attirante. Car, quand le garçon regarda cette nouvelle connaissance à un autre endroit que son visage. On pouvait avouer qu'il s'agissait là d'une belle fille avec de beaux atouts. Mais Rudolf ne s'attarda pas là-dessus, car ensuite lui revenait l'image ineffaçable de Medisse. Il replongea alors son regard sur le visage de la Gryffon. En effet, il venait juste de remarquer qu'il s'agissait d'une élève de Gryffondor. En même temps que cette observation, elle lui parlait. Elle aussi avait connu un bonheur court dans son enfance. Mais, apparemment, ce qui avait suivi devait être horrible, tragique. Leurs deux vies étaient tout de même assez semblables dans leur chronologie. Enfin, il ne connaissait pas toute sa vie, loin de là. Peut-être était-elle différente sur d'autres points de vue. L'orphelin lui répondit ensuite.

Oui, ceux qui sont heureux peuvent le montrer, même si 'lon les envie quelquefois. pourtant, ce sont eux qui vont se sentir le moins bien quand la malheur les touchera. A l'inverse, ceux qui sont habitués au malheur, lorsque la grâce les touche, même si infime, deviennent rayonnant. Les pauvres, les Sans Domicile Fixe, ont souvent le sourire, et cela me fascine, malgré leur malheur permanent. Quand on est malheureux, c'est vrai que cela ne sert à rien de le cacher, car cela nous blesse encore plus et les gens nous considèrent alors comme des personnes fausses. Tu es comme moi, tu cherches à oublier le passé. Cela fait des années que je cherche à ne plus y penser et à l'effacer de mon cerveau, et pourtant il me rattrape en ce moment, petit à petit. A vrai dire, il reste toujours gravé dans nos mémoires, et il resurgit toujours aux mauvais moments. Heureusement, il y a des passages heureux dans tout ce passé, et on se les rappelle plus souvent. Ta vie n'a pas l'air d'avoir été facile. Bien sûr, je ne vais pas trop te déranger avec ça, car je sais comme c'est gênant d'en parler. Je me pose juste une question. D'où viens-tu? Es-tu issue d'une famille riche ou pauvre? Je te l'avoue, je suis de Californie, et je n'aime pas la vie américaine. Je la trouve dérangeante, pas drôle du tout. Il est dur d'y vivre et là-bas, il y a beaucoup de gens inconscients de ce qu'ils font. Tout ce mal qu'ils font sans se soucier de leurs victimes... Et puis, les conditions météorologiques y sont désastreuses...

Là encore, son temps de parole fût très long. Les deux jeunes gens s'échangeaient des temps de parole assez longs. Ils étaient tous les deux à l'aise à l'oral. cela ne les gênait pas de parler longtemps en continu et, c'était le cas, sur des sujets difficiles. La gryffon semblait la comprendre totalement, ou, du moins, en grande partie. Et il en était de même pour l'inverse. Le grand brun recevait les paroles de la jeune femme facilement et les comprenait de suite. Il était bien tombé et faisait là une belle rencontre. On ne pouvait que se sentir bien avec une personne qui pensait pareil que lui, ou au moins assez semblablement. Le garçon ne savait pas s'il en était de même pour cette fille, mais il semblait que le courant passait entre deux, qu'ils se tenaient compagnie sans rejet. C'était une bonne manière de commencer la matinée. C'était une des premières fois que le garçon discutait avec quelqu'un si tôt et, surtout, en ce lieu. Cela lui rappela une nuit passée à parler avec une fille de sa maison dans la forêt interdite. Il en gardait bon souvenir, car là aussi l'entente avait été très bonne. C'était peut-être là une nouvelle amitié qui se formait. De toute manière, la discussion était plaisante.
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyDim 1 Mar - 14:07

Aria se sentait très à son aise. Jamais elle n'aurait pensée qu'une personne pouvait partager autant sa vision du monde. Certes, il n'avait pas l'air d'avoir connu les mêmes choses qu'elle et d'ailleurs heureusement. Elle ne souhaitait à personne ce qu'elle avait vécu. L'abandon, la tristesse, le sentiment de ne plaire à personne...Toutes ces choses causés par l'absence de deux personnes qui pendant un moment avait été heureux mais qui du jour au lendemain, s'était détruit intérieurement sans se soucier des dégâts qu'ils causaient autour d'eux. Un silence s'installa, un peu mélancolique autour d'un cadre parfois idyllique et parfois si triste. Il dévoila le véritable but de sa promenade qui, au départ, ne devait être qu'une balade matinale sans réel but précis et pourtant les voila en train de discuter d'un sujet plus ou moins grave mais des plus intéressant. Elle aimait entendre la voix du jeune homme, c'était agréable à écouter.

Tu sais, certaines personnes sont seules par obligation. Ce n'est pas toujours un choix. Desfois les gens ont des problèmes ou ce genre de choses et de ce fait, préfère rester seuls plutôt qu'embêter les autres avec leurs problèmes sans grand intérêt. Personnellement, j'ai vécue seule un bon moment pendant mon enfance dû au fait de parents absents...C'est pour cette raison que j'arrive autant à m'accommoder à la solitude qu'à la compagnie de gens uniques et complètement différents.

Elle regarda la surface de l'eau, les mouvements des petites vagues causés par le vent puis elle bascula sa tête vers les nuages qui bougeait au rythme de l'air. Libres d'aller où ils voulaient, libres de faire ce qu'ils désiraient, libres de tout. Parfois, Aria se surprenait à vouloir être un nuage que seul le vent le guiderait. La liberté avait parfois un goût amer. Sa mère avait payé le coût de sa liberté au prix fort, au prix de la mort de son mari et de la perte de sa fille confiée à un autre foyer. Le regrettait elle ? Personne ne le savait. D'ailleurs était elle encore en vie ? La voix du garçon troubla ses pensées et elle s'obligea à intervenir tellement ce qu'il avait dit la frappait.

Une personne doit connaître au moins une fois le malheur et une fois le bonheur pour saisir toutes les opportunités qui s'offre à elle. Une personne constamment heureuse croit que tout le monde est heureux et que la vie est belle. A l'inverse une personne constamment malheureuse pense que la vie est mauvaise et que sa naissance n'a pas été voulue. Il faut connaître le juste milieu pour se rendre compte de la chance qu'on a. d'être encore en vie.

Elle respira un grand coup et enleva les cheveux de ses yeux. Rudolf fit preuve de curiosité en lui posant une question sur ses origines. Ainsi il était américain mais il aurait préféré ne pas l’être. Aria ignorait tout de la vie américaine à part ce qu’elle avait pu lire dans les journaux ou autres moyens informatifs. Elle brisa le silence et répondit à sa question en choisissant bien ses mots.

Je suis anglaise, j’ai toujours vécue en Angleterre dans un quartier ou il n’y avait que des sorciers. J’ai toujours vécue entourée de magie. Quant à savoir, si je suis riche ou pauvre…à un moment donné, j’étais dans le juste milieu mais quand mon père a commencée à bien réussir son travail, on est devenu riche. Je suis encore riche car quand mon père est mort, il m’a tout légué et n’a rien laissé à ma mère… Tu sais, la vie anglaise est vraiment plaisante mais j'ai aussi des origines françaises. Je suis née en france et j'ai souvent voyagée là bas. C'est un magnifique pays. Mon pére était français, ma mère était anglaise
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Rudolf Himmer
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MessageSujet: Re: A l'aube d'une matinée d'automne [Libre]   A l'aube d'une matinée d'automne [Libre] EmptyDim 1 Mar - 17:26

Le ciel devenait de plus en plus clair. Déjà, on observait que peu de nuages semblaient voiler l'azur. Le soleil allait se lever et ce serait comme d'habitude: magnifique. Déjà, l'impatience se faisait telle que des petits tremblements agitèrent ses mains. Mais c'était aussi dû à l'absence de réponse à ses questions et au manque de sommeil. Car, tourmenté, le sommeil ne l'avait emporté que quelques dizaines de minutes, et le reste du temps, c'était ses pensées qui prenaient le dessus. Plus l'heure avançait, plus il faisait jour, et plus la fille était apparente, et plus sa beauté et son charme étaient perceptibles. Bientôt, le jour serait totalement présent, et il serait sept heures environ. Alors, il resterait encore une heure, voir une heure et demi avant de rentrer dans la Grande Salle pour manger. Pourtant, malgré l'heure, la faim n'était pas présente. Son estomac ne réclamait rien, même, il ne laissait aucun gargouillement ou quelque bruit sonore résonner. Et c'était tant mieux, car la honte l'aurait submergé devant la jeune fille. De toute manière, le jeûne, chez lui, pouvait durer jusqu'à une vingtaine d'heures. Après ce délai passé, la douleur se faisait trop forte. C'était aller contre les limites de l'homme. De toute façon, il n'y avait pas lieu de penser à cela. Le petit-déjeuner était pour bientôt et bientôt son estomac serait rempli, et puis il n'y avait pas d'empressement.

Rudolf écouta avec grande attention la justification de la solitude par la gryffon. Cela l'intéressait au plus haut point, car lui aussi avait été seul pendant pas mal de temps, et volontairement et par désintéressement des Moldus. Tandis qu'à Poudlard, le garçon aimait les amis mais aussi la solitude de temps en temps. Il mélangeait les deux à son gré, selon ses envies. Là, à cet instant, le jeune homme avait envie des deux choses, mais, au côté de la jeune femme, c'était pour la discussion qu'il optait. La gryffon disait vrai sur le sujet. On était seul quand on le voulait où on voulait. même à un rassemblement, la volonté prenait la décision.

Oui, tu as raison. Certaines personnes préfèrent la solitude. Tout ce que je dis, c'est qu'on peut alterner solitude et sortie avec des amis. Toujours rester seul, cela peut nuire à son avenir. On se désintéresse de la société, et on devient brusque, véhément. La méchanceté et la haine te gagnent si tu ne vois personne pendant pas mal de temps. C'est pour cela que je pense qu'on ne peut rester seul toute sa vie, et ici pendant sept ans. Toi aussi, tu préfères souvent te balader seule pour réfléchir. C'est vrai que l'être avec qui on s'accommode et on s'entend le mieux, c'est soi-même.

Sa nouvelle connaissance semblait fascinée elle aussi par le paysage. Ses yeux se portaient partout autour d'elle, presque grand ouverts sur le début du spectacle. On aurait dit qu'elle enviait ces nuages. Que cherchait-elle? Ca, l'américain n'arrivait pas à le savoir. Peut-être était-ce leur douce blancheur, ou encore leur belle apparence. Pourtant, elle n'avait rien à envier à la nature car elle était aussi belle que la nature la plus pure. Cela surprenait l'orphelin qu'une aussi belle fille affectionne la solitude alors qu'elle pourrait faire comme tant d'autres et faire la petite salope avec les autres mecs. Mais elle n'en faisait rien, et le grand brun la respectait pour cela. Son calme aussi inspirait à l'admiration. Ce n'était pas vraisemblablement le genre de filles qui s'énervait pour un rien. Elle semblait bien canalisé ses émotions. Pourtant, si elle était malheureuse, cela se verrait sur ce doux visage. Le bonheur aussi, quand il était en elle, devait apparaître magnifiquement sur elle. Quand elle se remit à parler, le jeune homme l'écouta encore passionnément. Vraiment, elle captivait superbement l'attention. C'était comme un don naturel qu'on lui avait offert. Ainsi, quand elle parlait, on se sentait obligé de l'écouter. Ce qu'elle dit était encore vrai. On eut cru qu'elle avait la science infuse, ou alors qu'elle était omnisciente. Mais personne ne l'était, mais pourtant elle semblait l'être. Elle semblait très intelligente, et cultivée. Cela fit sourire le Poufsouffle lorsqu'elle poussa une mèche de cheveux pour pouvoir voir. Cela le faisait toujours sourire de voir les filles faire ce geste. Pourtant, cela leur laissait un beau charme, qui chez elle était encore plus imposant. L'origine de la gryffon l'intéressait aussi. L'Angleterre, Rudolf ne s'y était jamais trop intéressé. Pourtant, on disait que c'était une belle nation où il était bon de vivre. L'orphelin réagit quand elle eut fini de parler.

L'Angleterre... Londres est-elle une ville si imposante qu'on le dit? A chaque fois que j'y passe, je n'observe pas l'atmosphère qui y règne. Enfin, peut-être vivais-tu dans la campagne, je suis peut-être un peu généraliste. Associer Londres à l'Angleterre est une pensée bien navrante... As-tu vécu en France récemment, ou y es-tu allée, en gardes-tu des souvenirs?

La curiosité portait le jeune homme... Celui-ci se mordit la lèvre inférieure en pensant qu'il était peut-être dérangeant...
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