Une jeune fille trop attaché à sa guitare (libre)

Invité

Medisse gambadait tranquillement, sa guitare sur le dos, au bord du lac, sans se soucier de rien. La liberté envahissait son corps frétillant de joie, elle était heureuse, enfin, Rudolf était là pour elle-même s’il n’était pas à son côté en ce joli moment. Il faisait froid et l’herbe était geler, figer. Quand ses chaussures touchaient le sol, on entendait le gazon craquer sous ses pieds. Pour éviter un rhume, Medisse avait pris son kefier qui était enrouler autour de son cou, cette écharpe lui rappelait des beaux souvenirs avec son père de cœur, Lary.
La jeune guitariste aurait préféré qu’il soit aussi, son père de sang mais elle ne regrettait en aucun cas que la rencontre ce soit fait sous un pont grâce à sa douce voix que tout le monde aimait entendre. Pour échapper à toute ses pensée qui était que passée, elle se mit à chantonner tout bas.

Something in the way,
Rape me, Rape me my friends,
I’m need and easy friends, I do
I’m so happy

Elle dévalait toutes les chansons de Nirvana a une vitesse folle car les connaissant par cœur, elle les chantait pratiquement tous les jours où elle était heureuse, cela là réchauffait. Ce groupe là fascinait, malheureusement le chanteur Kurt Cobain était mort, elle n’avait guère eu le temps d’aller faire tapisserie dans un de ses concerts merveilleux. Sur sa guitare, il y avait des logos de groupe et une bonne partie était de Nirvana. Soudain, Medisse fut surpris par quelqu’un qui lui retira la guitare de ses épaules. Elle se mit à lui courir après du plus vite qu’elle put mais celui-ci avait déjà pris dans bonne longueur d’avance.
Ses chaussures qui n’étaient point fait pour courir, lui échappèrent des deux pieds.
Elle était maintenant pieds nues, le gazon là piquait jusqu’à aller à la brûler, quelque minute plus tard son corps s’étala par terre à cause de la fatigue et de ses pieds douloureux, la chaire était à vif. La jeune fille pleura, repensant à tous les moments de bonheurs qu’elle avait vécu avec sa guitare, pour elle ce n’était pas qu’un instrument pour elle. D’ailleurs, Medisse avait aussi fait un poème sur sa guitare.

Elle, c’est ma vie,
Quand j’ai envie de pleurer,
Je l’a prends,
Et agite ses fines cordes prenant un doux air,
Triste qui me libère de tous mes problèmes
Je m’envole auprès d’elle.
C’est aussi mon univers,
Je l’a décore selon mon humeur.

Avant de s’assoupir, plongeant sa tête dans l’herbe fraîche, elle cria faiblement.

A l’aide !

Il n'y a que rage dans moi,
La flamme illuminant mes yeux,
N'est que collèrique.

Pourquoi une telle cruauté subsiste dans ce monde ?

Les faibles sont rembarés par les prétencieux.

Quel plaisir éprouve t'il à faire du mal.

Ils me semblent juste inhumaine.

Certaines naissances devraient être noyer.

Si la liberté existait,
Le sang coulerai déjà sur le couteau.

Dereck se dirigeait vers le lac pour profiter de la fraicheur matinale et pour piquer une tête dans les eaux froides, toniques. Il marchait, où plutôt déambulait sur le chemin, fredonnant l'air du chant du choixpeau. Juste après une bifurcation du chemin, il fut bousculé par une personne qui avait une guitare sur le dos, cette personne courait. Dereck eut l'impression que ce curieux personnage fuyait...
Que se passe-t-il?
Il dirigea son regard sur le chemin, sonné par cette "rencontre musclée" et vit une jeune fille qui avait à peu près le même âge que lui qui courait vers lui, pleurante. Dereck comprit donc que la personne qui l'avait bousculé fuyait vraiment et se mit presque aussitôt à sa poursuite.
Mais bon sang, il se passe quelque chose de vraiment très étrange...
Dereck était en forme ce jour là et ratrapa facilement l'étrange élève,

Petrificus Totalus !

Le fugitif inconnu tomba alors la tête la première sur la fraiche pelouse, ne pouvant plus bouger.

Dereck se dirigea alors vers la jeune fille en pleurs, qui était tombée, ne pouvant plus courir...

Ca va? Pourquoi poursuivais-tu cet élève? si tu veux le voir, il est un peu plus loin, je l'ai pétrifié...

Elle à l'air perturbée !

Invité

Medisse avait la tête enfouit dans l’herbe et ne chercha pas à la relever, elle se sentait bien là, même si elle avait un désir de se relever pour aller à la poursuite du voleur mais la jeune fille n’était guère en état de se remettre à courir, ses pieds coulaient le sang, la chair à vif.

J’ai peur, que va-t-il se passer si personne ne me remarque ici, il est encore très tôt mais je pourrais rester la nuit dans cette endroit, faute d’inattention des gens.

Mais ses idées furent tout de suite coupée, elle entendit une voix de jeune homme, une voix douce, cela réconforta Medisse, elle fut tout de suite rassurer.
La jeune guitariste tourna la tête vers le jeune homme, elle avait une vision floue, voyant mal son visage, elle ne put voir quelle était sa maison.
Il lui semblait que c’était un Serdaigle mais Medisse n’en était pas vraiment sûre.

Quelle question, pourquoi d’après lui.
J’avoue qu’il est gentil et charmant.

Ma guitare.

Ce fut les seuls mots que Medisse arriva à prononcer sous son émotion, elle était triste mais heureuse que quelqu’un l’ait retrouver, maintenant en bonne compagnie, la jeune fille arriva à émettre ce dernier mot, il avait fait l’effort de pétrifier le chenapan pour elle.

Merci !

Un sourire se fit sur la bouche de la jeune fille, elle tendit la main vers le jeune pour essayer de prendre une position assise qui serait plus confortable à son goût. Une fois reprit son souffle, Medisse s’exprima pour expliquer tel était la situation qu’elle avait vécu quelque minute auparavant.

Franchement, je ne saurais comment te remercier, je marchais tranquillement, ma guitare sur le dos quand quelqu’un vint me la prendre pour ensuite se mettre à cavaler bousculant tout sur son passage. J’ai essayée de lui courir après mais mes chaussures se sont retirées, donc mes pieds sont dans un état atroce.

Elle reprit sa respiration pour continuer son récit qui l’a marquera à jamais, pourtant elle aimerait tant oublier ce moment.

Et voilà, comment je suis arrivée ici, étendu dans la pelouse.

Son regard porta au loin pour essayer d’apercevoir le bandit et notamment sa guitare, mais cela sans aboutissement. Medisse se mit à pleurer de ce que venait de se passer, son émotion était trop forte.

Pour qui je passe moi, devant ce jeune homme si gentil, je suis dans un état pas possible.

L’adolescent avait l’air plus jeune qu’elle mais pas de beaucoup, il avait une taille d’un garçon de 14 / 15 ans et avait un visage très développer, si elle devait le décrire, l’aperçu serait fait de compliments, … Il était blond, avec des yeux bleus qui était froid mais en même temps doux, c'était difficile à expliquer.

Dereck s'approcha doucement de la jeune fille en pleurs qui tremblait d'effroi... Il marchait timidement car il n'avait jamais eu l'occasion de faire ce genre de rencontre. Il frissonait, ne comprenait pas.

J'éprouve du plaisir, pourquoi ?!
Elle est vraiment dans un sale état... Sa guitare à l'air d'être très chère à ses yeux !

Dereck pointa sa baguette vers l'endroit où la rencontre avec le malfrat s'était faite

Accio guitare

La guitare apparut soudain dans les airs. Dereck fut content que son sort eut l'effet esconté. Dereck accorda machinalement la guitare et...
L'envie lui prena de jouer, alors il joua...
C'était un air nostaglique.

Sur le bord du lac il y a
Une jeune fille qui a
Peur et qui a froid
Je lui ai prit sa guitare
Mais maintenant il est tard
Je me souviens.

Désolé.

Sa voix s'était éteinte.

C'est faux, mais ça vient du coeur...

Une larme coula le long de sa joue... C'était une déprime "à la Dereck"
Enfin, il lui tendit sa guitare.

Tiens, ne t'inquiète pas, ne t'inquiète plus.

J'ai pas l'air d'un idiot maintenant... je la sauve et je pleure. Elle doit me croire complètement détraqué!

Désolé, je devrai t'épargner mes larmes...

Tu dois avoir froid!

Calor

Dereck s'essuya le visage... Il avait maintenant le visage mélancolique.
L'athmoshère se réchauffa tout autour de Dereck.
Voyant que la jeune fille recouvrait ses esprits Dereck reprit la discussion...

Je veux entendre quelque chose de plus gai! J'espère que ça sera le cas.

Espèrant que sa voix lui était revenue, il se lança...

Tu me joue un air? J'aimerai entendre un autre son que le triste bruissement du ven.t

Puis Dereck s'assit à côté de la jeune fille, qui était de Poufsoufle.

Invité

Medisse regarda le jeune homme s’approcher doucement d’elle, il devait être de nature assez timide pour se qu’il venait de faire.

Il est craquant l’empêche mais ola doucement, en plus il ne faut rien que j’en fasse car …
Et en plus, c’est pas le moment de penser à sa, dans l’état que je suis, il doit vraiment me trouver repoussante.

Le serdaigle pointa sa baguette au loin et la guitare apparaissant devant lui, il l’a prit et joue un doux air triste qui expliquait la situation dans laquelle ils étaient.
Brusquement, une larme coula le long du doux visage de l’adolescent, l’envie qui émergea Medisse était de se lever et de prendre lentement le jeune garçon dans ses bras, amicalement, mais beaucoup de chose lui en empêchait, elle aurait pas pu se relever aussitôt, ça aurait était trop rapide pour la jeune fille qui pourtant avait une atroce envie de le faire. C’était la même sensation que Medisse éprouvait en jouant de cette instrument, souvent elle se retrouvait pleurante sur sa guitare.

Oh, tu sais, ce n’est pas grave, même si ce n’est pas le moment, je comprends à peu près la raison de tes larmes et je ne peux t’en vouloir, avant ça, merci de m'avoir ramener ma guitare, je n'en aurais pas eu la force.

Après cette réplique, il tendit la guitare à Medisse et lui demanda d’en sortir un morceau, un échantillon de ce qu’elle en savait, aussitôt elle pensa à ‘’ Something in the way’’, un morceau qu’elle avait crée il y a longtemps, dans sa jeunesse lointaines. La jeune fille avait choisit ce morceau car elle n’était pas capable de jouer quelque chose de rapide et d’excitant, dans la posture dans laquelle, elle était, malheureusement. Ce moment de sa vie était aussi heureux, ça lui avait permis de rencontrer un jeune homme vraiment gentil.

Et mignon. STOP STOP. Il faut que je me calme.

Non, depuis que je sens ta présence ici, je ne m’inquiet plus et de jouer de ma guitare m’a réchauffer, je te remercie vraiment d’avoir arrêter ce voleur en pleine action.

Oui effectivement, j’ai froid.

Il avait du remarquer ce, vu ses tremblements, … Mais soudain, le jeune homme prit sa baguette pour en faire sortir un sort quoi réchauffa l’espace.

Pour continuer, ce moment à l’ambiance bizarre, elle saisit son instrument pour effrôller ses douces cordes et ensuite rajouter cette magnificence, sa voix douce et calme qui peux être sucré et léger, sa voix se confondait avec ce qu’elle jouait.

Underneath the bridge
The tarp has sprung a leak
And all the animals I have trapped
Have all become my pets
And I'm living off the grass
And the drippings from the ceiling
It's okay to eat fish
'Cause they don't have any feelings

Something in the way
Something in the way

Underneath the bridge
The tarp has sprung a leak
And all the animals I've trapped
Have all become my pets
And I’m living off the grass
And the drippings from my ceiling
It's okay to eat fish
'Cause they don't have any feelings

Something in the way
Something in the way
Something in the way
Something in the way

Sur ce, elle versa aussi, quelques larmes qui exprimaient sa tristesse, dès qu’elle jouait de sa guitare, elle s’envolait et ne pensait plus à rien, cela la réconfortait. Elle fit un affectueux sourire au serdaigle qui s’assit de suite à ses côtés. Ils restaient tous deux à se regarder.

Voilà.
J’ai beaucoup aimé l’invention, la chanson que tu as chanté tout à l’heure, depuis quand fais tu de la guitare ?

Medisse ébouriffa ses cheveux qui n’était pas sals par rapport au reste, elle avait besoin d’une bonne douche mais avant ça, cette instant avec le jeune homme lui faisait du bien, après ce qu’elle venait de subir. Elle avait envie de savoir son nom car se parler comme cela sans savoir comment il s’appelait était un peu embêtant.

Comment t’appelles tu ?

Pendant que la jeune fille jouait, Dereck regardait ses long doigts fins et gracieux s'agiter avec harmonie. Cet air était très beau aux oreilles de Dereck, il en avait frissonné tout du long et il en frémissait encore après le dernier accord. Cette chanson était triste, certes mais elle fit le bonheur dans le coeur du jeune homme. Curieusement, le vent c'était calmé et, pour la prmière fois, Dereck regarda dans les yeux de ce qui se révélait être une très jolie fille.

Ses yeux... elle est charmante... Dereck! Reviens sur terre mon vieux!

Tu sais, c'était très beau, en harmonie.
J'en fait depuis 7 ans mais je n'est jamais eu de guitare, ce qui amoindrit mon savoir faire de musique, je n'en jouais qu'en cours, je n'ai pas ton niveau. Et toi tu en fais depuis combien de temps ?

Le coeur de Dereck accelerai de plus en plus et la Poufsoufle secoua ses beaux cheveux.

Je m'appelle Dereck, Dereck Sitock... Et toi ?

Oulala Dereck, tu commences à ne faire que les répliques "et toi?" ça craint, trouves quelque chose !

Des bruits de rires et de discussions s'approchèrent... une bande arrivait! Et quelle bande... Des serpentards de la même année de Dereck... Ils venaient sûrement lancer des quolibets aux "deux pleurnichards" comme l'avait entendu Dereck

C'est pas eux qui vont gâcher un de mes seuls moment de bonheur! Il vont partir... où périr...

Périr était un bien grand mot, Dereck n'avait pas apris des sortillèges de mort mais il sortit tout de même sa baguette et se leva. Le fait qu'il avait prit vingt centimètre l'arrangeait plutôt car il fesait une tête de plus que la plupart de ces Serpentards

Hé, les Ser-Pendârds! Si j'étais vous, je rebrousserait chemin, OK ?

Comme s'ils allaient partir, ils sont quatre je suis tout seul... enfin peut-être avec la jolie poufsoufle...

Protego

Invité

Medisse assise, sa guitare sur les genoux, observait le jeune homme tendrement mais se rendit compte que son cœur battait un peu trop vite pour lui car il ne lui fallait pas oublier qu’elle possédait déjà un petit ami nommé Rudolf, qui était chère à ses yeux, la jeune fille ne voulait pas gâcher leur amour par un coup de cœur sur son sauveur qui était malgré ça, très mignon. Il n’était pas seulement mignon mais gentil, protecteur et assez attentionné à ce qu’elle voyait. Mais il fallait qu’elle coupe à tout pris son rêve et qu’elle revienne dans la réalité.

Calme toi, tu ne peux pas faire un coup pareil à ton petit ami, Non je ferais rien

La voix de Dereck retentit soudain dans les oreilles de Medisse, il racontait avoir fait de la guitare qu’en cours depuis 7 ans, pourquoi n’avait il pas de guitare, cela était dommage, elle qui cherchait à monter son groupe de rock, pour la couper, une question arriva.

Merci, je suis heureuse d’avoir à faire à un garçon qui a de la compétence dans cette instrument car ici, les gens connaisseur se font rare et ça me manque car mon désir serait de monter un groupe.

C’est dommage, que tu n’es pas en toi la possession d’une guitare, on aurait peut être pu évoluer dans cette catégorie, tu pense pas ? Parce que moi, j’ai découvert que tu n’es pas mauvais, moi j’ai commencée la guitare vers l’âge de neuf ans où j’ai appris en douceur avec celui qui était comme un père et qui m’a sauvé de la misère.

Une larme coula sur la joue de Medisse, elle avait du mal à parler de Lary, car c’était grâce à lui qu’elle était rendue dans cette école et qu’elle savait jouer de l’instrument.

Elle apprit le nom du garçon pour pouvoir ensuite balancer le sien.

Moi, je m’appelle Medisse, Medisse Larius, . . .
Quel nom de merde, que j’ai, c’est décevant.

Tu as quel âge ?

Elle voulait être sûre qu’il est entre treize et son âge parce que les petits gamins de 11 ans, ras le bol, ou alors les serpy qu’elle ne supportait pas, il était égoïste et s’y croyait alors que certains ne valait rien, même si elle avait remarquer quelque fréquenteur de cette maison qui était très gentil même s’il restait quelque peu très froid.

Leur discussion timide fut coupée par une bande, sûrement celle de serpy comme elle venait de penser à eux, telle une coïncidence douteuse. Les rires se rapprochaient rapidement et Medisse pouvait point partir avec ses blessures et sa guitare entre les mains, cela aurait été trop long de la remettre dans sa house et de ramper en s’aidant de Dereck.

Mais au lieu de ça, les deux adolescents restèrent plantés là, prêt, enfin presque, à affronter les serpentard irrespectueux.

Le jeune homme se leva en se montrant grand et fort.

Waw, quelle carrure, il est trop mignon, MEDISSE la ferme.

Et il n’avait pas fini d’impressionner la jeune fille, maintenant il montrait son caractère hautain et arrogant, Medisse aimait beaucoup les gens de son genre, il se montrait parfois très gentil alors qu’il pouvait se rebiffer à tout moment, c’était plutôt une bonne relation qui s’installait. Mais il continuait à l’intéresser en plus. Pour ne pas le laisser tout seul face à ces sales serpy, Medisse s’y mit aussi

Hey, hey, bande de minus, vous allez continuez votre chemin sans regarder ce qui se passe ici, autrement, sa serait dommage que je fasse l’usage de ma baguette, n’est ce pas ?

Elle sortit sa baguette de sa poche, pour leur foutre la trouille, ce qui m’étonnerais beaucoup, mais il vaut mieux dire quelque chose et tenter que de rester là, assise le cul par terre à observer la situation.

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