Dortoir des garçons Soirée entre mec [Pour ces messieurs de Gryffondor]

L’unité.
Seul problème de bien des gens ! Une difficulté majeure pour un si grand nombre de la populace que cela en devenait nauséeux. La faiblesse des Gryffondors actuellement ? Le manque de ressources sans nul doute ! Et un besoin évident d’entraide entre les survivants de cette maison en péril. Bien sur cette soirée ne comprendrait pas les filles, mais Jimy avait bien sur pour ferme intention de les rajouter à eux à l’occasion d’une prochaine fête ! Il ne manquerait pas cependant de leur livrer de quoi s’amuser un peu elles aussi, dans leur dortoir. Le sorcier poussa bien tous les lits contre les murs à l’aide de sa baguette, créant plusieurs vagues de poussière qui s’était accumulée sous les lits. Une fois cette première tâche accomplie, le jeune Griffon entrepris de transformer la chaudière du milieu de la pièce ronde en une espèce de barbecue dont les flammes ou la braise seraient remplacées par un petit tuyaux lançant quelques jets de flammes à plusieurs reprises, en appuyant sur un petit bouton se trouvant derrière l’engin. Tout ça pour éviter de mettre le feu.

Maintenant la bouffe !

Jimy tira de sous son lit un énorme sac de ces bonbons moldus qu’on faisait traditionnel rôtir à la broche dans un petit feu de camp en se racontant des histoires qui font peur. Un sourire sur les lèvres le sorcier s’appliqua à répartir des parts égales devant chaque lit pour n’oublier personne. Une fois tout cela prêt, il étendit une espèce de grand tapis rond sur le sol froid du dortoir pour y poser ensuite dessus quelques couvertures et des oreillers. Des polochons bien sur étaient disposés dans une commode en cas de bataille.

Eh bien voilà ! Tout est prêt me semble-t-il ? Il ne manque plus que les participants.

Jimy savait que les autres garçons ne tarderaient pas à monter, l’heure du couvre feu venait de sonner. Il manquait quelque chose au milieu de tout ça. Jimy se frotta le menton tout en réfléchissant, lorsque les torches furent soufflées par les courants d’air, il comprit que c’était de la lumière, dont il aurait besoin, mais pas une lumière trop forte. Un air malicieux, il se dit qu’il était temps de se faire plaisir, et de tester par la même occasion sa capacité qu’il commençait tout juste à assimiler.

Incendio !

Ignis orbis pareo !

Une petite boule de feu se tira rapidement de sa baguette pour venir se loger au creux de sa main. Le sorcier rapprocha ses lèvres de celle-ci et commença à émettre de petits soufflements qui eurent pour effet de projeter quelques fragments de la boule embrasée sur de petites bougies aux quatre coins de la pièce. La lumière n’était pas trop haute, juste ce qu’il voulait pour mettre tout le monde dans l’ambiance. Qui déboulerait en premier pour l’ouverture de la fête annuelle des garçon de Gryffondor ?

Nathan avait passé sa journée à la bibliothèque, il devait rendre un devoir sur les différentes forme de lycanthropie, il avait fait bien des recherches, et malgré le repas copieux qu'il avait pris dans la grande salle son éstomac criait famine. De plus il avait fini son dernier paquet de chocogrenouille en sortant de la caverne d'Ali Baba de la litérature.

Rho mince j'ai faim moi lire constemment des récits de carnage fait par des Loup-Garous affamé ça creuse, je vais faire comment. Oh mince c'est bientôt le couvre feu faut que je me dépêche sinon on va perdre des points. Bon au prochain couloir à droite. Voila...

Finalement il arriva devant le portrait de la grosse Dame et se pressa de lui refiler le mot de passe. Il n'y avait presque personne dans la salle commune, deux ou trois courageux qui finissaient un devoir. Il décida donc de ne pas s'attarder dans la salle commune et monta directement dans son dortoire. Mais là surprise, c'était pas un dortoire, ça ressemblait plus à lieu de feu de camps des scouts moldus. Et il vit son frère, il attendait assis sur un tapis, sûrement que d'autre personne arrivent.

Hé bien qu'est ce qui se prépare ici, ça va être la Party ou bien, tu nous fait quoi là, une soirée au coin du feu, haha c'est trop chou de part grand frère, il y a même de la guimauve sur nos lits.

Euh ils sont où les autres?

C'etait trop bète, en fait, c'etait trop lui...

Une pensée! Des consequences! Pensée aux conséquences!

Combien fois c'etait t'il intimé cette maxime. Résultat? Que d'alle!!! Le voici une nouvelle fois coincé à l'exterieur de la salle commune apres s'etre offert un vol nocturne sur son balai...Coincé par une fenètre. La honte... Un soupirail d'accord!! Mais UNE Fenètre!

Non coopérative, bornée et INSUPORTABLE!!! On en à déja parlé saleté d'ouverture! Tu dois réster ouverte! Ne fait pas celle qui ne m'entend pas! Je ne suis pas un de ces imbéciles qui ne croit qu'en la vie des tableaux et autre statue! Je sais bien que madame à ces humeurs elle aussi! Si tout les choses féminines se mettent à pensée où va t'on je te le demande!!

Une fenétre était elle sensible à la cause féministe? Rien n'est moins sur. On dit une fénetre mais le genre est une question de sexe. Pas de langue...
Laissant la ces réfléxions divertissantes mais inutiles. Jin se laissa aller à quelques frissons. Les hauteurs du chateau ne représentaient pas l'idéal acceuillant propice à toute pensée philosophique.Alors, suite à un vote de l'assemblé de lui mème. La décision de mise en place d'un protocole de solutionnement au problème fut donc prise à l'unanimité. Jin faillit s'abstenir mais le froid l'en dissuada. Etant le seul votant,il fit penché la balance en sa faveur et remporta les suffrages.

S'approchant de la fenètre bornée, l'argentin porta son attention sur l'interieur. Les deux frère Raven discutaient dans le dortoir. Bizarrement, les lits avaient disparut et une lumière tamisée baignait la piece. D'un geste légitimer par le vote, le sud américain frappat au carreau dans l'espoir d'attirer l'attention...

Invité

Cette fois encore, Mahre avait franchi le portrait de la grosse dame quelques minutes après le couvre feu ; et comme toujours, cette charmante dame n'était pas vraiment très contente. Enfin de toute façon il n'était pas le seul à le faire, et quand bien même, cela ne l'aurait pas dérangé plus que ça. Flâner ou discuter dans les couloirs aux heures tardives l'amusait beaucoup, et il ne s'en priverais certainement pas. D'autant plus qu'il n'était pas rare qu'il aille faire un rapide petit tour dans les cuisines avant de remonter au septième étage, pour être sûr que son ventre ne crierait pas famine avant le lendemain matin.

Quand il pénétra dans la salle commune ornée de brodures et de tapisseries aux couleurs de gryffondor, il n'avait, comme souvent, pas vraiment envie de dormir. Mais voyant que les quelques personnes encore présentes dans la salle faisaient leurs devoirs, ou s'occupaient à d'autres choses qui ne l'intéressait pas plus que ça, Mahre finit par se decider à monter les marches qui menaient au dortoir, sachant pertinement qu'il lui faudrait trouver une quelconque occupation. Mais apparement, l'occupation était déjà toute prête, car quand il poussa la porte, les Raven étaient déjà là, autour de ce qui semblait être un feu de camp. Tout semblait avoir été bien préparé, et les sucreries n'attendaient plus que quelques personnes pour être rôties, puis mangées.
Il entra dans le dortoir, qui ne ressemblait d'ailleurs plus trop à un dortoir, et entendit quelqu'un frapper à la fenêtre. Il salua alors les deux garçons présent tout en se dirigeant machinalement vers la fenêtre.

Salut vous deux ! C'est en quel honneur cette petite fête ?!

Se demandant encore comment pouvait bien faire quelqu'un pour voler sur un balais à une telle heure ; car de toute façon il ne voyait pas de quelle autre façon on pouvait atteindre une telle hauteur ; il finit pas ouvrir la fenêtre, afin de laisser entrer le gryffondor. Il reconnut alors Jin, mais étrangement, il ne fut pas surpris plus que ça.
Il reagarda le reste du dortoir, il faut bien le dire, peu rempli. Le retard devait être dans les principes des gryffondors, il ne voyait pas d'autre explication possible. Il retourna bien vite près du feu, la température extérieur étant encore loin d'être chaude.

Mais comment il fait pour voler avec un froid pareil ?

Invité

Cedric arriva dans le dortoir et vit les autres garçons de Gryffondor .

Chic !!! Une fête !!!!

Cedric s'éclaircit la voix juste derriere Mahre :

Salut ! On fête quoi au juste ?

Il se sentait bien dans Gryffondor c'était les choses qu'il adorait surtout quand ils gagnaient la coupe de Quidditch . Il aimait boire et manger mais surtout draguer ou se faire des connaissance qui pourrait se réveler plus tard comme de futur collègue dans le metier qu'il aimerait entreprendre plus tard après ses ASPIC .Puis scrutant avec attention le dortoir il sortit sa baguette et fit apparaitre un carton rempli de Bierraubeurre

Gla, Gla!

Froid , froid! Complétement geler, tétaniser, congélationner (comment ça on ne dit pas congélationner?) Jin fit irruption dans le dortoir. Le visage rougit par le froid, la goutte pendue au nez, la pneumonie aux trousses, l'argentin couru prestement vers son lit s'empara de sa couverture et s'y enroula dans un soupir de jouissance extrème. Enfin, la chaleur penetrait son corps, rechauffait son âme, réanimait en lui l'étincelle de vie que la dame des glaces avait presque soufflée par son blizzard polaire.

Mahre je t'aime!

Une reconnaissance éternelle transfigurait, maintenant, les traits du sud-américain. Celui ci fut sur son compagnon en quelques sautillements larvaires (essayez d'etre digne enroulé dans une couverture...). Mahre ne put rien faire pour échapper à son tragique destin. Un gros bisoux morveux vint s'ecraser sur sa joue dans un "smack" retentissant.

Sans toi j'etait mouru! C'est sur!

un reniflement, un nouveau sourire. Puis, soudain, une illumination. Jin découvre la présence des autres Gryffondor. Confus, il esquisse une moue désolée avant de déclarer, l'air penaud.

Ha, salut!

Un sautillement grotesque tente, maladroitement,de traduire physiquement la salutation. Le gaucho reporte alors son attention sur la piece, la décoration. Un air triste s'inscrit, subitement, sur ses traits.

C'est pour quoi tout ce décorum? Quelqu'un est mort?

Invité

Alors que Mahre reportait son attention sur le feu de camp improvisé et tout ce qui avait été préparé, une déclaration pour le moins étrange se fit entendre. Mais il n'eut que tout juste le temps de se retourner, que déjà, l'émetteur de ces paroles effectuait son dernier bond. Et quelques secondes plus tard, ce qui était censé être un bisou vint non pas se déposer, mais bel et bien s'écraser sur la joue du gryffondor.

Beurk ! M'apprendra à vouloir jouer les sauveurs tient !

Pas très apétissant comme scène, alors essayez d'imaginer ce que ressent le pauvre destinataire à ce moment là. Il s'essuya d'un revers de manche la partie de son visage qui avait eut à subire le débordement d'affection du gryffon qui avait fait irruption par la fenêtre. Si je meurt pas d'une pneumogastrogripinimie dans les prochains jours, je pourrais prétendre au poste de nouveau survivant ! Se relevant tant bien que mal, il se rapprocha du reste du groupe, et répondit à la question de Jin plus pour lui-même qu'autre chose

Et bien à ce moment précis, je crois que je peux dire que c'est ma dignité qui vient de rendre l'âme.

Pour dire vrai, il n'en avait jamais eut beaucoup de dignité, mais la situation qu'il venait de subir, en plus de n'être pas franchement valorisante, était également désagréable. Puis, après ce qu'il considérait comme une dure épreuve qui lui avait ouvert l'appétit, il prit une de ces friandises qui étaient posées. Ayant déjà vu de quelle manière ces choses à la consistance pour le moins étrange se mangeaient, il la fit chauffer grâce à la source de chaleur qui était installée, puis, sans attendre très longtemps, l'enfourna dans sa bouche.

Eh bva chai je chais pas ch'que chais, bais chais vachement bvon !

Mahre tu devrais y aller mollo avec ces trucs !
J’ai déjà vu de la guimauve se rebeller contre quelqu’un c’était pas beau à voir …

Jimy regarde un peu tous les arrivants, méprisant à peine son jeune frangin qui avait encore eu la bonne idée de lui traîner dans les pattes. Ce n’était pas tant un effet répulsif que provoquait Nathan en Jimy mais plutôt un profond désespoir. C’est vrai ? Qu’avaient ils en commun tous les deux ? Nathan était adroit, intelligent, il ne passait pas son temps à tout casser et à se ramasser au moindre obstacle dans lequel il pourrait se prendre les pieds, non ! A bien des égards, en les plaçant à côté, les deux frères ne seraient presque pas de la même famille ! Pourtant … C’était bien le même sang qui coulait dans leurs veines ? Alors pourquoi Nathan avait été épargné de tout ? Il ne provoquait pas d’incendie, il n’était pas en totale illégalité pour avoir introduit un dragon dans Poudlard, il ne cassait pas tout ce qu’il touchait et son balai ne se retournait pas souvent contre lui pour le ruer de coups. A l’évidence, tout cela poussait quand même à soulever certaines questions ! Enfin bref, de toute façon Jimy allait finir par croire que toutes ces choses qui le gênent chez son frère pourraient en fait être le résultat d’une certaine jalousie …

Je ne sais pas où ils sont, tu devrais peut être sortir de la pièce pour aller les chercher ?

Et me laisser tranquille au passage !

Je suis étonné de voir qu’il y en qui s’amuse encore à regagner le dortoir par les fenêtre ! Si ça n’avait pas été un problème de tableau, j’aurais du vous enlever dix points Mr Erese ! Cela dit, faites moi penser à signaler à la grosse dame qu’il faudrait qu’elle arrête de filtrer …

Jimy regarde autour de lui.
Tout est plutôt agréable, aucune catastrophe n’est encore survenue, la soirée semble bien s’annoncer et pourtant …Il manque un truc. Le jeune homme réfléchit une seconde et une fois que quelque chose lui vient à l’esprit, Jimy fait apparaître de quoi boire un peu. Saisissant un verre, il le lève à la santé de ses camarades.

Mes amis ! Si vous voulez bien ! A la votre !

A peine a-t-il le temps d’approcher son verre que celui-ci explose dans sa main. Jimy naturellement voit un bout de verre lui rentrer dans la peau et sans plus tarder un filet de sang se met à couler le long de son bras.

De toute évidence j’ai crié victoire trop vite ! Pourquoi mes parents ont tenu à avoir un elfe ?

Mathy …

Scott, épuisé par l'entrainement de Quidditch avec Alex, Capitaine de l'équipe et aussi Préfet, avait décidé de se coucher tôt. Mais il tournait et virait dans son lit à baldaquins et ne pouvait s'endormir tant il y avait de bavardages dans le dortoir d'à côté. Les yeux cependant gonflés par le sommeil, il se dirigea vers la salle contiguë en robe de chambre, les cheveux ébouriffés. Le contact glacial de la pierre sur ses pieds nus le fit frissonner mais il continua sa marche.

Les bras croisés, il resta adossé contre le mur, observant ses camarades. Au centre de la scène se trouvait l'autre Préfet, Jimy Raven. Il semblait orchestrer la soirée avec délice. Scott sourit en coin, hésitant à se joindre à ses camarades de maison.

Puis alors qu'ils trinquaient tous à la bièraubeurre, le verre de Jimy lui explosa entre les doigts, laissant couler un peu de sang le long de son avant-bras. Scott sortit son mouchoir de sa poche et s'approcha du grand blond à qui il tendit le morceau de coton blanc.

Tiens, prends ça. Tu veux que j'aille chercher quelqu'un ?

Arsenius arriva, essoufflé. Il venait d'apprendre qu'il y avait une fête chez les Gryffondor

Ça va être génial ! Pour une fois qu'on pourra s'éclater tranquillement !

Il courait...courait...Arriva devant le portrait de la Grosse Dame, prononça le mot de passe, et entra en hurlant...

Il parait qu'il y a une fête !
Où est la bière au beurre ?

Il mit longtemps à s'apercevoir de se qu'il se passait. Devant lui, un de ses camarades de Gryffondor avait le bras en sang...

Wouah !!! Il faut prévenir quelqu'un, et vite !! Où sont les préfets ?

Il s'aperçut avec horreur, que c'était le prefet qui était blessé... Arsenius n'osait rien faire.

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*Dortoir des garçons* Soirée entre mec [Pour ces messieurs de Gryffondor]

Dortoir des garçons Soirée entre mec [Pour ces messieurs de Gryffondor]