[RESIDENCE]Campagne périphérique Cabane d'Akasha Kementari

Akasha avait toujours eu un faible pour les endroits reculés ... Cette cabane à l'abandon convenait à la perfection ... Pas d'achat ... Seulement une investigation minutieuse ... Certains pourraient considérer ce taudis comme un squat ... Mais Akasha l'avait rendu le plus vivable possible ... Tout en maintenant sa philosophie ... Les biens matériels ne sont rien ...

Invité

Ismène s'enfonça parmi les arbres jusqu'à trouver la dite cabane... Cabane était un bien grand mot pour qualifier ce sur quoi elle tomba, presque par hasard.

Heu... Akasha ?

Elle prit son inspiration...

C'est chez toi ici ? Ou c'est les voisins... ?

Elle s'était risquée à une plaisanterie de mauvais goût. Mais après tout... ce n'était que pour détendre l'atmosphère. Ou se détendre elle-même...

Akasha émergea de sous un arbre ...

Oui c'est bien chez moi ...
J'apprécie ... Una ambiance forestière n'est il pas ?

Entre ... Attention au parquet ... Il se brise ...

Invité

Oui, en effet... très forestier...

En même temps elle était au milieu d'une véritable marée d'arbres... Elle ne voyait pas comment il aurait pu en être autrement.

J'ai apporté des cigares... Tu sais, ceux du camion... Je pensais qu'on aurait pu renouveler notre pacte de non agression. Il faut avouer qu'il ne tient qu'à un fil, avec toutes ses tensions internationales...

Aucun rapport, certes. Mais il fallait parler. Et puis, c'était une façon comme une autre d'en venir à ce pourquoi elle s'était rendue dans cette forêt...

Akasha acquiesca avec bonheur ...

Tu contribues largement à sceller ce pacte ...

Elle fit un faux mouvement de la main ...
Un rictus de douleur se peignit sur son visage ... Les séquelles de ses actes étaient nombreuses ...
( Poignet cassé ... Actes pré au lard 3 balais pour info )

Sinon quel bon vent t'amène par chez nous ?

Invité

Ismène dévisagea son hôte.

Je connais un remede contre les douleurs. Avec de la cire chaude...

La jeune femme lui tendit un cigare puis un briquet.

Fabrication artisanale. On n'en trouve pas de meilleur à travers le monde.
Enfin... ( soupirant ) Un bon vent ? Peut-être pas... Plusieurs affaires à traiter. Et puis, il faut bien déposer l'ancre quelque part et se faire une vie comme on peut...

Elle ne le savait que trop bien.

Akasha acquiesca ... C'était on ne peut plus vrai ...
Elle accepta avec joie le cigare et les briquet ...

Hum ... Attention ... Un incendie nous serait fatal en ces lieux ma chère ...
Je pense qu'il va falloir revoir nos ambitions à la baisse ...
La société n'est pas prête à recevoir tant d'orgueil en une seule fois ...
Dissimulons nous dans la foule ...

C'était à se demander si Akasha n'avait pas fait un stage éclair à la tête de sanglier avant de croiser Ismène ...

Invité

Ah voui. Les incendies. Une menace que j'avais oublié. Il faut dire aussi que la vie au fond des océans m'a épuisé... enfin bon. On se comprend, hein ?

Ismène s'essaya à un sourire, se remémorant amèrement les années passées au fin fond des plus profonds abysses. Le bon temps, en fait.

Akasha se remémorra ces moments ...
Un élan d'affection la prit ...
Elle se jeta sur Ek Ismène et elle commença à pleurer à chaudes larmes ...

Ô passé !! Une enfance commune merveilleuse ... je ne l'oublierai pas ...

Invité

Ya... Y...akasha ! Il me faut y retourner. Comment vivre sans mon aversion catégorique envers les volatiles ? C'est inimaginable ! Je veux ressentir les courants frôler mes écailles ma peau et m'emporter !

Timidement, Ekismène ( ) se rapprocha de Yakasha...

Akasha regarde Ismène avec un regard implorant ...

Une enfance bénie ... Dont tu es presque la seule image que je garde ...
Emmène moi avec toi !!

Invité

Ismène sourit intérieurement. Elle avait gagné.

Un bocal ? Relié à l'océan avec piscine olympique ? Comme au bon vieux temps ?

Oui !!

Akasha exultait ... Son passé heureux refaisait surface ...

Elle tendit sa main à Ismène ...

Faisons un pacte !!!

Invité

Vite ! Deux feuilles ! Il faut l'écrire !

Ismène considèra les alentours...

Je suppose qu'il n'y a pas de plume ici...

Non point ... Ce serait mal interprété voyez vous ? ...

Par contre servez vous ... Pour ce qui est des feuilles ...

Mais attention ... Pas d'encre non effaçable ... Celà nuit à ma perception de l'environnement ...

CRAC

Un bruit de transplanage se fit entendre près de la cabane d'Akasha ... Elle revenait de l'une de ses innombrables sorties en bar ... Peu assurée , elle se dirigea vers la porte d'entrée de son habitation et la franchit lentement avant de perdre l'équilibre et de s'affaler bêtement sur le sol . Perdant conscience , elle passa la nuit dans cet état , et dormit d'un sommeil de plomb . A son réveil , elle alla s'enfermer dans la partie la plus reculée du lieu , et commença à s'occuper de la manière la plus instructive qui soit ... Elle sortit un livre et lut nonchalament ...

Puis , quelques heures plus tard , elle choisit de bouger , et sortit de chez elle ...
Un autre bruit de transplanage se fit entendre , puis le silence reprit ses droits ...

Invité

Judith Nightmare se dressait devant la porte de la "cabane" de Akasha Kementari. Elle observa la batisse avec un regard de pitié... Elle haussa les sourcils puis elle observa la porte sale de sa cabane... Elle se demanda si elle allait salir ses mains pour cela ou pas? En tout cas, elle avait pas de temps à perdre, ça c'est sûr... Elle toca à la porte de la cabane du bout de sa baguette, puis elle la rangea...

Et ben... Il y en a vraiment qui vive de peu... Pauvre fille...

Elle recula un peu pour laisser de la place pour que la porte s'ouvre. Elle attacha ses longs cheveux noir qui la dérangeait à cause du petit vent qu'il y avait. Elle caressa son chien qui était à ses pieds et qui, par ennuie, venait de se coucher et soufflait comme un gros balourd...

Bon...

Elle frappa du point trois fois sur la porte de la "cabane" de cette femme. puis elle s'essuya sur le pelage blanc de son petit chiot. Et elle le regarda d'un air désolé..

Et oui mon gros! la loi de la jungle! Désolé!

Puis elle s'imagina quelle sorte de personne allait ouvrire la porte... Peut-être une petite femme menue qui la salurait.. OU alors non! Une femme géante, avec pleins de furoncles et grasse comme un cochon! Elle rit en pensant à cela...

» Cabane du Garde Chasse -

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