hj Dans le but d’évoluer, j’aimerais bien avoir à faire à quelqu’un d’assez expérimenter en rp, envoyer moi en mp avant d’y répondre, svp hj
Il devait être plus de une heure passée, mais cela n’empêchait pas Medisse de se rendre à une heure tardive, d’un pas qui ne semblait ni fatigué, ni lourd mais élégant d’enthousiasme, dans le chaleureux parc de l’école Poudlard. Elle se fichait de l’heure qu’il pouvait être, peu importe. Son esprit devenait de plus en plus arrogant, … comme celui des serpentards, mais jamais elle ne pensait à ça, car pour elle, ce n’était que de simple vantard qui ne coûte même pas de découvrir leur esprit de malfrat, mais en disant cela, Medisse savait apprécier les vrai serpentard qui eux valait pas rien de les découvrir. Bref … La jeune fille voulait se poser dans un coin tranquille, ainsi, elle mettrait sa guitare, qui à ce moment ci, séjournait sur le dos de la petit brune, sur ses genoux. Mais avant d’agiter les douces cordes, Medisse adorerait écouter le rare silence, de la nuit, le cri du silence (Silent Scream), celui qui réconforte et panse les blessures douloureuse qui attende d’être enterrées au plus profond d’elle, sous tant d’autre qui ne semblent plus paraître sur le visage pâle et doux de Medisse. Elle était une jeune femme qui se renfermait sur elle-même, en parlant de tout ses obstacles et problèmes qu’elle avait dut affrontés. Les souvenirs que la poufsouffle avait, certainement personne de le savait. Une femme qui ne voulait point salir son image encrée dans la tête des gens, Medisse est quelqu’un de constamment inquiète et qu’il faut rassurer à chaque seconde qui se passe de choses de maux. Mystérieuse était sa devise, parfois Medisse se laissait envahir de peur et de honte, une sensation inexplicable qui là hantait, mais elle n’en disait rien, gardait le silence qui pour elle était la pure confiance irremplaçable, sans ébruitement. C’est pour cela, qu’aujourd’hui, elle décida de venir ici, ainsi, elle peut se confier à la douce nuit étoilée de ce soir. En cette soirée calme, le parc ressemblait à un chaos, pour continuer sa marche, elle avait quelque peu mal aux pieds à cause de sa dure journée routinière, il faisait bon dehors et l’herbe était appréciable, alors Medisse s’accroupit pour retirer ses converses noir usées pour ensuite enlever ses chaussettes qu’elle fourra dans ses chaussures, et au passage, la jeune femme ramassa une marguerite et arracha ses pétales.
Je t’aime …
Un peu
Beaucoup
Passionnément
A la folie
Pas du tout …
Pour en finir avec sa fleur, elle tomba sur passionnément, cette pensée était pour Rudolf.
Mmh, pour une fois que personne est là pour m’emmerder.
La solitaire, la guitare rutilant sur le dos, les godasses fourrées dans la main gauche, trébucha sur un espèce de petit rocher, et tomba la tête la première dans l’herbe. Elle se releva intact quelque seconde après, une légère douleur parraissait au genoux mais cela aurait pu être plus grave, beaucoup plus grave.
Quelle chance ! Pff quelle nulle, je suis.
Cinq cent mètre (environ) plus tard, Medisse s’assise enfin, posant à côté d’elle sa guitare et ses chaussures pour ensuite se taire et repenser aux souvenirs pareil à celui de Lary, aux bons moments passés ensemble. Beaucoup de qualité venait de cet homme courageux qui l’avait recueillit. Cette pensée, là mena à Rudolf, lui aussi était un être cher à ses yeux, il est son petit ami comme son confident, si on allait dans les détails, son intimité lui était dévoilée.
La nuit, Lary, Rudolf, … était là, présent dans son esprit et son cœur, bien entendu. Avant de commencer à enchanter le parc, la jeune femme posa ses yeux sur un arbre, son regard dévisagea le chêne, qui lui fit découvrir un petit animal innocent au pelage marron, doré. L’écureuil était figé sur une branche et ses yeux pleins d’amour en gardant la méfiance, se dirigeait dans les environs de Medisse. Quelque secondes, se passèrent durant lesquels, deux regard attentionnés s’était croisés. Sans s’attarder là-dessus, la solitaire sortit sa guitare de la house noir abîmée par la vieillesse et tous les coups qu’elle avait subit dans le passé pas très surprenant de Medisse. Sans gêne et peur, elle fit vibrer toutes les cordes et se rendit compte que cela sonnait faux, pendant le trajet et surtout la chute, les mécaniques avaient dues se tourner.
Ce n’est pas étonnant, vu comment je suis douée.
Une fois, avoir finie d’accorder son instrument, afin d’avoir un bon son agréable à l’oreille, elle joua une petite mélodie triste et haineuse qu’elle avait crée un soir, au temps déprimant où son ex petit ami l’avait quitter, mais de cela Medisse n’avait aucune envie d’y repenser. La chanson ne comprenait pas encore de parole, mais peut être allait elle, en avoir avant demain. C’est vrai la nuit et le silence peut joué sur son inspiration diabolique. Quelque parole essayant de venir pour la chanson sortit de sa bouche.
Un jour, la liberté s’élèvera,
Le sang coulera sur le couteau,
Cause de toutes ces erreurs non réfléchit,
La guitare continua ensuite, son chemin sans parole. Durant cinq minute, la mélodie s’étain enfin, le soulagement des doigts de Medisse arriva par la suite, une corne invisible était positionnée sur le bout de ses doigts douloureux mais celle-ci ne protégeait pas une journée sans fin de guitare. Pour but d’apaiser l’affliction, elle fourra sa main dans l’herbe fraîche et guérissant pour en ressortir une poignée qu’elle frotta sur la douleur. Il ne fallait pas que quelqu’un débarque à ce moment cause de sa main devenue verte et son visage un peu sale, elle avait besoin de mouchoir ou de lingette au mieux.
Accio lingettes !
Un paquet de lingette douce déjà entamer apparut et se posa tout près d’elle. Medisse prit alors, une de ces et frictionna ses doigts avec, mais à peine avait elle commencé qu’un bruit de pas qui se rapprochait sonna à ses oreilles fines et efficace.
Oh non, pas dans cette état là, pas encore.
Car déjà Medisse avait vécu un moment humiliant auprès de Dereck Sitock, elle s’était fait volé sa guitare et était tomber, ne pouvant plus bouger cause de douleur et fracture, alors pas cette fois non plus !