Salle d'experiences n°6 : la pièce de l'amour

Albus Dumbledore avait un jour dit que l'amour était la plus grande puissance que les sorciers puissent posséder.
C'est pour cette raison que la pièce de l'amour avait été créée !

A première vue, elle était entièrement vide, mais lorsqu'on y pénétrait, on ne pouvait s'empêcher d'éprouver le sentiment d'amour le plus profond et le plus puissant qui soit capable de naître dans notre coeur. Et alors, on devenait incontrôlable, capable de réaliser aussi bien les plus merveilleuses choses comme les plus terribles.

Eilane répugnait à passer trop de temps dans cette pièce qui la mettait énormément mal à l'aise.

Eilane entra dans la pièce à pas feutrés. Alors qu'elle l'évitait autant qu'elle le pouvait d'habitude, cette nuit là, il s'agissait du seul endroit où elle rêvait de se trouver.

Collaporta !

La porte se retrouva scellée de l'intérieur. Personne ne pouvait plus pénétrer dans la pièce et Eilane savait ainsi qu'elle ne risquait pas d'être dérangée.

Épuisée mentalement, elle s'effondra littéralement au centre du parquet et ferma les yeux, se laissant enivrer par les vapeurs d'amour qui flottait dans les airs.

Ethan...

Ce murmure partit de sa bouche et raisonna en écho sur les murs. Ses pleurs se déversèrent le long de ses joues roses.
Il ne lui fallut pas longtemps pour s'endormir, d'un sommeil fait de rêves tous plus doux et agréables les uns que les autres.

Invité

Arya avait laissé sa directrice du département des mystères a la salle des prophéties, elle était partie avant voir la salle de la mort puis celle des prophéties, et maintenant elle se retrouvait devant le symbole de la porte de l'amour, elle avait dit a sa directrice qu'elle irait donc elle le ferait. Elle poussa lentement la porte de la salle de l'amour jusqu'a qu'elle soit entièrement ouverte. Elle regarda se qui il avait a l'intérieur pour ne pas entrer mais elle ne vit rien, étrange, pourquoi il n'y a rien dans cette pièce, Arya fit un pas alors pour entrer dans la pièce et la porte se referma. Pourquoi il n'y avait rien, elle se le demanda quand tout a coup en s'éloignant de la porte un sentiment qui lui réchauffa le cœur la prit comme si elle l'avait reçut de pleins fouet. Elle voulut ressortir au plus vite de la salle mais elle ne pouvait pas, se sentiment l'empêchait de sortir. Elle ressentie alors l'amour qu'elle avait eut pour ses parents. Non c'est impossible, elle ne les avait jamais aimés, mais elle devait se voiler la face car la salle faisait ressortir l'amour qu'elle avait pour eux. Nonnnnnnnnnnn, elle commença alors a hurler. Non je déteste se sentiment, elle essaya de lutter mais elle ne pouvait pas, elle vit alors une personne qu'elle venait de revoir il y avait pas longtemps de cela et qui logeait chez elle d'ailleurs, elle ressentit son cœur battre de plus en plus fort. Arya s'écroula par terre, les larmes au yeux, pourquoi cela lui arrivait il a elle, pourquoi lui montrer tout se qu'elle gardait au fond d'elle, c'était une torture morale que la pièce lui faisait, un souvenir revint encore a sa mémoire, l'amour avait été présent dans sa vie, mais elle l'avait toujours cacher au plus profond de son cœur pour ne pas le ressentir. Elle se laissa bercer par se sentiment, il était devenu comme une drogue. Une petite voix dans sa tête lui disait de sortir, alors que son cœur lui dictait de rester. Que faire, que faire, elle se lança alors un sortilège, une coupure saigna abondamment sur son bras, elle pensait que la douleur lui ferrait reprendre ses esprits, mais l'amour de la pièce lui referma aussitôt sa coupure, plus elle luttait pour refouler se sentiment plus la pièce la retenait prisonnière contre sa volonté. Alors Arya s'abandonna pour la première fois de sa vie a l'amour, il parcourut tout son corps, elle découvrit alors le pouvoir gigantesque qu'il apportait. Elle put alors sortir de cette pièce. Quand elle se retrouva dans la pièce circulaire, elle se crut affaiblie par se sentiment nouveau qui était maintenant gravé en elle, mais elle sut que se n'était pas vrai, qu'elle irait mieux… Cette salle, elle n'y retournerait jamais mais elle avait comprit son véritable et extraordinaire pouvoir. Cruelle, elle le restait toujours envers ses ennemis mais envers ceux qu'elle considérait comme des amis cela allé changer..

Invité

David entra dans l'une des pièces qu'il avait choisit pour sujet d'étude, la salle de l'amour, ce sujet qui l'intéressait depuis très jeune déjà.
Il voulait depuis longtemps travailler ici, et maintenant qu'il était là, il allait enfin commencer son travail en temps que langue-de-plomb, il allait enfin rentrer dans la salle de l'amour.
David voulait découvrir les mystères qui entouraient ce sentiment depuis longtemps, ce sentiment la fois merveilleux et dangereux... Ce sentiment qui l'habitait à nouveau depuis peu.
Quand David entra il ne vit rien, la pièce était totalement vide mais il ressentait un sentiment très puissant, un sentiment profond, le sentiment de l'amour.
Il ne s'empêcher de penser à Ania, à sa mère, sa famille... Toutes les personnes qu'il aimait vraiment, les personnes importantes pour lui.
Il ressentait enfin le vrai sentiment de l'amour, il comprit enfin ce que le verbe aimer signifiait.

Ce sentiment...est étrange, mais tellement... magnifique!

David s'assit parterre, en ressentant encore et toujours ce sentiment tellement...tellement...unique.

Ellana rentre alors dans la pièce réservée à l'amour mais contrairement aux autre elle ne bouge pas d'expression d'un poil et elle mâchouille son chewing-gum tel un ruminant...
Elle sent alors une bouffée de chaleur, elle enlève sa veste et terminé ! Serait elle dénuée de sentiments ? Elle passe devant les deux personnes présente et elle les regarde souriante !

Salut tout le monde ! Va ?

Ellana se pose sur un siège et elle commence à prendre des notes sur les sensations que lui procure l'amour ! Pas grand chose au départ...Mais c'est alors qu'elle pense à Elmound et à sa fille !! Un poignard lui perce le coeur !! Elle se tord et elle ne passe pas loin du hurler ! Mais elle se reprend...

Waaah !!! Va falloir que je fasse gaffe ! Je ne peux laisser ses sentiments me...Aaah !

Ellana faiblit puis elle s'évanouit un court instant.
Quand elle revient à elle elle se sent bercée et ne souffre plus ! Un autre amour...Un amour plus "professionnel" avait remplacé les deux autres...
Soudainement inspirée elle se met à écrire encore et encore !! A un tel point que sa feuille devint vite remplie !

Ouf !! Si j'avais su que...Une telle chose m'inspirerait à ce point !

Maintenant Ellana voulait trouver un moyen de se protéger contre cet amour...Contre tout amours ! Et elle se leva puis se dirigea vers une autre salle pour évaluer les possibilité de correspondance avec la mort...Tuer l'amour ? Non elle n'avait pas cette prétention...Pour le moment !
Elle voulait juste le rendre plus contrôlable ! Et quoi de plus prenant que la mort ?

Invité

David releva la tête, il était sûrement rester là trop longtemps, des heures sans s'en rendre compte de rien.

Il leva la tête et sourit à la jeune femme qui venait d'entrer dans la salle, il répondit simplement:

Bonjour! Oui, oui, ça va...

Il se leva, se dirigea vers la sortie, mais avant d'avoir atteint la porte, il se retourna et remarqua Ellana, sur le sol, évanouie.
Il s'approche, voulant l'aider mais avant d'arriver près d'elle, elle était déjà debout en train d'écrire.

Il se recula donc et lança un:

Au revoir.

Avant de passer la porte et de s'avancer vers son autre sujet d'étude: La salle des cerveaux.
La salle des prophéties lui aurait bien plût aussi, mais il était plus attiré par l'intelligence qui était un des symboles de Beauxbâtons et l'amour, le symbole de toute une vie (à ces yeux).

L’esprit encore rempli de réflexions à propos de la pièce qu’il venait de quitter, Simon entra pour la première fois dans la salle réservée à l’Amour et resta un instant immobile sur le seuil, à la fois stupéfait et intéressé par la vacuité du lieu.

Très intéressant. Et très logique, également. Aucun symbole, aucun objet ne saurait représenter l’Amour de façon convenable… Il appartient à ceux qui pénètrent la pièce de forger leur propre représentation.

Simon fit quelques pas en avant, promenant le bout de ses doigts sur les murs. Ici aussi régnait une atmosphère caractéristique. Quelque chose de bien plus actif que ce qu’il avait pu ressentir dans la salle du Temps. Il ferma les yeux, pris de légers vertiges qui n’avaient rien de désagréable. C’était étrange, cependant. C’était, pour lui, quelque chose d’assez nouveau. Simon n’avait jamais aimé quiconque hormis les membres de sa famille, un amour filial plus proche de la tradition que d’une véritable affection. Coupé du monde autant par son éducation que par sa maladie, il n’avait jamais eu l’occasion de s’attacher à quelqu’un. Déjà que rares étaient ceux qu’il autorisait à l’approcher…

La torpeur délicieuse le fit s’appuyer contre un mur, dos à celui-ci, les yeux presque clos, un début de ronronnement dans la gorge. Une véritable merveille, cette pièce… Il lui fallut beaucoup de volonté pour s’extraire de cet état passif et se redresser, secouant la tête. Simon attrapa une nouvelle fois son matériel d’écriture.

- Wingardium Leviosa. »

Docilement, guidés par sa baguette, parchemin, plume et encrier s’élevèrent pour flotter non loin de lui, à mi-poitrine environ, disposés à servir. L’esprit de Simon chercha à ébaucher diverses théories, tandis qu’il arpentait à pas lents la pièce vide.

Il est évident que l’essence même de l’Amour est enfermée ici. Mais qu’est-ce qui la retient ? D’où émane-t-elle ? Des murs ? D’un objet invisible ? Et s’il s’agit véritablement d’une essence, comment et d’où l’a-t-on extraite ? Il serait également intéressant d’observer l’action du temps sur l’Amour… Si toutefois le Temps en a bien une.

Ecrivant avec rapidité ses réflexions au fur et à mesure, Simon faisait de son mieux pour ne pas perdre sa concentration, ne pas se laisser gagner, une fois de plus, par la torpeur puissante et agréable immanente à la salle.

» Salle circulaire