Camden town Le bal des intrus (pv)

Une route totalement investit par un marché aux frusques,
une pluie fine, un brouhaha infernal…quoi de mieux pour passer incognito.

Et passer incognito aujourd’hui plus que d’habitude c’est son
maître mot.
Il est assez rare de voir Kira paré de la sorte, un peu
« vivant » dans un costume noir fatalement moderne…voilà qui tranche
à coup sûr avec le kira en guenilles tachées des substances les plus
innommables d’il y a tout juste une bonne dizaine d’heures.
Son apparence fait pourtant étrangement négatif dans ce
quartier qu’il ne connaît pour ainsi dire que de réputation. Ici
s’entrechoquent les allures les plus excentriques, et pour peu il se croirait
en plein chemin de Travers…
Son long trench noir dont le haut col retourné contraste avec le blanc immaculé de sa chemise et vient par moment se coller à son cou à la manière majestueuse d’une coiffe de grand naja. Seul ses longs cheveux noir geai, son teint pâle outrancier et ses deux yeux vert turquoise cernés de noir peuvent vaguement l’associer à cet apparent lieu de culture gothique.

La balade, bien qu’attrayante et ô combien curiosité anthropologique n’est certainement pas axé sur le simple sentiment de plaisance touristique…il s’agit avant tout d’un test…un de ces nombreux tests qui jonchent la vie du noir maître pantomancien.

Il débouche sur une petite rue tout aussi bondé que la place
qu’il vient de quitter et focalise une attention particulière sur un homme de
taille moyenne marchant devant lui…une belle jeune fille arrivant presque à l’intersection de la rue et un autre homme, plus jeune celui-ci particulièrement affairé à regarder fixement l’étalage désuet d’un marchand ambulant…

Tout se déroule comme prévu…quelle illusion.

Invité

Anya avait quitté la princesse après lui avoir longuement parlé, et elle était assez perturbée par la présence qu'elle avait sentit. Elle ne savait pas s'il s'agissait d'une bonne ou mauvaise présence, et se trouvait chanceuse d'être toujours en vie.

Peut être aurait-elle du se taire en sentant cette présence ?
Peut être le fait de parler avait-il attiré l'attention sur elle ?
Elle ne savait plus quoi penser.

En tous cas, elle devait absolument retrouver son chemin, surtout au milieu d'une foule pareille. Elle cherchait des sorciers des yeux. Elle savait a quel point il était facile de les retrouver, tellement ils pouvaient être décalés par rapport aux moldus.

Elle arriva dans un quartier très actif. Et elle se sentait encore plus perdue. Elle n'avait pas souvenir d'être passée par là en allant au chemin de traverse. Et elle connaissait juste le nom du pub ou elle avait passé la nuit, même si les noms anglais étaient difficiles a retenir pour elle. Et des sorciers l'avaient accompagnée au chemin de traverse. Si elle avait sut, elle aurait prit une chambre au Chaudron Baveur.

Elle s'arrêta au milieu de la foule et regarda autour d'elle.
Tout lui semblait tellement étrange ici ...
Cependant, elle repéra quelqu'un qui faisait un peu 'tache'. Pas qu'il soit habillé différemment, mais il était ... Etrange ...
Anya ne savait pas trop pourquoi. Les gens ici étaient tous différents les uns des autres.

Elle ne savait pas si elle pouvait l'approcher, vu ce qu'elle avait sentit. La même impression qu'avec la princesse. Le même froid qui l'envahissait, et ce froid semblait s'incruster dans sa peau. Elle en frissonnait tellement elle n'aimait pas cette sensation.
Elle le regarda un moment. Le dévisagea même. Il avait surement put sentir son regard tellement il était intense.

Puis, elle prit sa décision. Elle s'approcha de l'homme pour essayer de le suivre, le plus discrètement possible.
Elle savait qu'elle aurait dû rester ou elle était, mais elle avait envie d'en savoir plus.
Elle avait aussi envie de savoir pourquoi il l'avait espionnée plus tôt dans la journée, et pourquoi il n'avait pas répondu quand elle l'avait interpelé.
Elle s'avança, posa une main sur son épaule et joua a l'innocente. Elle dit avec son plus bel accent :

Excusez moi, savez vous ou est le Rembrandt Hotel s'il vous plait ?

Le bruyant tumulte ne semblait pas gêner le sombre marionnettiste, même si un léger mal de crâne commençait à lui vriller les nerfs….
Soit dit en passant cela faisait maintenant 26h qu’il étaitdebout, et un certain agacement pouvait se lire dans ses yeux chaque fois, qu’un passant maladroit venait tamponner son épaule…
Cette journée avait plutôt mal commencé avec la belle surprise du cimetière, plus de cadavre frais.
Puis lorsqu’il avait suivi ce vieil homme dans une ruelle de
Totenham après s’être rendu compte qu’il possédait plus de métal dans le corps qu’un avion tout entier…
Ou pire lorsqu’il avait entrevu ces deux jeunes demoiselles,l’une provenant de l’école mère et l’autre…mieux valait ne pas savoir.
C’était la journée des déceptions, jusqu’à ce qu’il décide de tester ces dernières trouvailles…
Perdu dans ses pensées, il ressent toutefois comme un carreau d’arbalète venu se loger droit sur sa nuque…on l’observe, il en est presque certain…il est aussi en mesure de dire qu’il s’agit d’une femme.
Peu importe, aujourd’hui le mot ordre est plus que jamais à la discrétion, il ne regarde pas derrière lui une seule seconde et trace un segment linéaire depuis le début de la rue jusqu’à l’intersection ou une sorte de punk à chien jongle avec des bâtons en feu.
Soudain l’inévitable, la présence est déjà à un demi mètre de lui qu’il sait pertinemment qu’il va devoir répondre à une question…

Pourquoi moi…je dénote tant que ça dans ce décors de kermesse ?.....

Je n’ai pas le temps désolé…

Accélérant le pas sans savoir à qui il avait à faire, il tourne au coin de la rue à hauteur de l’homme qui regardait fixement l’étal 5 secondes auparavant et qui lui aussi s’engage dans la rue perpendiculaire…

Invité

Anya ne fut pas surprise de la réponse de l'homme. Au contraire, elle sourit a cela. Elle le prit par le bras, l'obligea a se tourner vers elle et dit :

Pourtant, tout à l'heure, vous aviez le temps de m'observer moi, ainsi que la princesse ...

Elle le regarda dans les yeux et dit :

Non ?

Elle le regarda longuement dans les yeux.
Il était plus grand qu'elle d'une dizaine de centimètres, et son teint blanc laissait deviner qu'il ne sortait pas souvent au soleil. Anya n'avait pas beaucoup plus de couleur, a cause de ses origines, mais elle avait une jolie teinte rose sur les joues qui la semblait la rendre fragile.
Elle trouvait étrange qu'un homme comme lui ai put l'observer comme elle l'avait sentit. Elle le regardait avec une certaine curiosité.

Tu es vraiment la pire des sottes Anya ! Qu'est ce qui te prend de parler a quelqu'un que tu ne connais pas, et que tu trouves louche ? Tu crois vraiment que s'il te reconnait, il te laissera tranquille ? Tu as bien sentit sa présence tout à l'heure, et elle n'avait rien d'amicale ! Pense a ce que ton père te disait. Les personnes louches doivent être évitées !

Anya soupira a ses propres pensées. Elle savait qu'elle n'aurait jamais du parler a cet homme, mais quelque chose l'avait poussé malgré elle. Elle prit son collier dans sa main et répéta :

Non ?

Elle pencha un peu la tête sur le coté, et s'approcha un peu de l'homme, pour l'empécher de 'fuir'.

Il existe plusieurs configurations en ce bas monde qui , bon
gré mal gré, coïncident fatalement avec pléthore de leur raisons
inverses…entendons par là que ce qui ne doit absolument, ô diable,pas être entrevu peut manifestement l’être pour le plus grand malheur du concerné….
En l’occurrence, le concerné ici présent est Kira…

Trois heures d’investigation pour cerner un lieu exemplaire
pour se livrer à ses petites expériences sans se faire honteusement pointer du doigt…
Une heure et un quart pour mettre en place son petit procédé, de façon outrageusement minutieuse…
Rien n’est jamais laissé au hasard avec lui, et surtout pas aujourd’hui alors qu’il s’est montré au grand jour au moins 5 fois…et on a beau dire, en guenilles ou en costard…Mr le maître marionnettiste est aussi visuellement à sa place parmi la faune locale qu’un slip sur la tête.
La variable qui pourrait biaiser ces précautions militaires,
le grain de sable dans le rouage, ce serait bien évidemment que quelqu'un
l’aborde…que quelqu'un qu’il a déjà vu ou pire quelqu'un qui l’a déjà vu…

Banco ! Le voilà qui se fait tenir le crachoir par personne d’autre qu’une de ses potentielles victimes d’il y a quelques heures…l’élève de Durmstrang qui plus est.Que faire ? L’attirer dans un sombre coin et la suffoquer ?...Oui
et…ou trouver un sombre coin ? Ici c’est la foire aux tapis…
La stupefixer ?
Devant tout le monde…les personnes de ce coin ont certes des airs étranges…mais pas dans le sens ou ils pourraient envoyer des éclairs bleus.
Et puis tuer une élève de L’Ecole…Je ne peux décemment pas…tout mais pas ça…non.Non, il faut nier et s’enfuir avec élégance…elle va tout faire capoter.

Elle va tout faire capoter…garce !!! Tiens ta langue…

S’il vous plait…laiss…laissez moi Mademoiselle…

Tourne les talons allez !!Du vent !

Pourtant quelque chose dans ses yeux ne brille pas de cet insolence maladive que l’on retrouve avec aisance dans l’iris brillant des moldus ou même des sorciers béats de cette grâce idiote…Rien ne semble
clairement lier son âme à une cause bonne et uniforme…elle se vendrai…d’ailleurs elle se vend, c’est certain à présent.
Elle ne sent pas la vermine putride à évider qui tourne bien trop souvent sous les mains du sculpteur de nature…celle-ci possède un cœur d’éther, le cœur des passionnés de haine, le cœur des faiseurs de monuments…
…peu importe elle doit s’en retourner ou tant pis je la tuerai…Un malaise en pleine foule, chose de la vie…

Pour votre bien…c’est maintenant ou jamais…jeune fille, laissez moi.

Invité

Cette voix ... Cette façon de s'habiller ...

Il vient de Durmstrang ?

Elle le regarda dans son ensemble et sourit intérieurement. Il venait forcément de Durmstrang.

Il veut que je parte ? Pour mon bien ? Héhé ... Il ferait mieux de faire attention au sien de bien !

Elle sourit pour de bon et dit :

Partir ? Pour mon bien ? Faites plutôt attention au votre. J'ai remarqué que vous suiviez une personne. Et vous avez l'air tellement concentré sur votre ... Cible ? ou Proie ? Hum, on va dire cible .. Tellement concentré dessus que vous n'avez pas remarqué que vous étiez suivit depuis quelques minutes.

Elle leva les yeux vers lui et dit :

Pas par moi, je n'étais pas assez discrète. Mais regardez plutôt vers la boutique Doc Martens, un homme en costard vous regarde depuis tout à l'heure. Et le peintre avec ses œuvres abstraites là bas ... Etranges, non ?

Elle inclina la tête sur le coté avec un petit sourire et dit :

Mais bon, vous voulez que je parte, n'est ce pas ? Alors que vous paraitriez tellement moins louche accompagné par une jeune femme comme moi ...

Elle avait un visage d'ange, mais une lueur étrange brillait dans ses yeux. Elle sourit, tout aussi angéliquement et dit :

Et je tiens a avoir des explications ... Je n'aime pas qu'on m'espionne comme vous l'avez fait ...

La jeune ingénu parait tellement sure d’elle… et cela plait énormément à Kira…Il en redemanderai de cette audace typiquement féminine…typiquement Bulgare…Soit…Elle n’est pas dupe et elle a remarqué quelque chose d’étrange autour d’elle…De bons yeux et un mental pas si dénué de perspicacité…
Il pouvait peut être lui présenter ses amis à présent.

Ahahaha…Vous parlez des ce gentleman là bas dans le coin ? Et de cette homme avec son établi et ses pinceaux vétustes…quelle belle illusion…et…avez vous remarqué cette belle jeune femme derrière vous ? Elle doit avoir sensiblement le même âge que vous, N’est-elle pas ravissante ?

Aussitôt qu’il prononce ces paroles, l’attention des trois personnages semble communément retenu par un subtil appel…une onde imperceptible qui les aurai atteint tous les trois au même moment, assez vite pour qu’ils tournent tous la tête de façon étrangement mécanique vers le sorcier et sa jeune interlocutrice.
Puis ils s’approchent, toujours de concert, leurs pas semblent prés calculés, leur démarche bizarrement orchestrée tel le tic tac d’une vieille horloge, à chaque interstice de peau il est difficile de ne pas remarquer cette pâleur cadavérique…Pourtant rien de vraiment flagrant si ce n’était ces visages figés aux yeux fixes et vitreux, dégageant une dérangeante impression d’uniformité…
Ils arrivent assez rapidement à hauteur du sombre pantomancien puis après un laps de temps s’immobilisent.

Je vous présente Sir McKenzie, peintre de son état…Le professeur Callingham, estimé chercheur en…

Vous cherchiez quoi au juste ?

Et derrière vous cette jolie jeune femme qui vous titille gentiment les reins avec sa baguette n’est autre que…bien en fait je n’en sais rien elle n’avait aucun papier sur elle, mais c’est une sorcière à ne pas en douter je l’ai récupéré pas très loin de chez Necro and co à mon retour du chemin de Travers.
Je conçois ma demoiselle que ma présence puisse vous interloquer…et puis, je ne ressent pas en vous de curiosité étourdissante sinon une vague envie de savoir mais….mais…
Il se pourrait bien que vous aimiez ça…

Présentement, le choix ne vous est que partiellement rendu…cette belle demoiselle peut vous stupéfixer sans aucun scrupule si je lui en donne l’ordre…et ces deux messieurs de perdre leur sang froid…si je peux
m’exprimer de la sorte…pour vous étouffer de leurs épaisses mains…je me
débrouillerai facilement pour masquer tout cela en simple malaise ou même en étreinte amicale…Héhé…
Ou bien me suivriez vous jusqu'à un endroit ravissant non si loin d’ici pour que je vous présente à ma merveilleuse collection ?

Invité

Anya se sentit soudain prise au piège. Elle recula d'un pas, et sentit une baguette s'appuyer sur le bas de son dos.
Elle regarda l'homme dans les yeux. Elle avait la tête d'un enfant qui venait de se faire attraper la main dans le sac, après avoir faire une bêtise.
Une fois le 'choc' passé, elle sourit et dit :

Tout était calculé, n'est ce pas ?

Elle remit ses cheveux en place, et baissa la tête un moment, le temps de reprendre un air normal pour elle. Puis, elle regarda les personnes qu'il venait de lui présenter, et dit :

C'est gentil d'avoir prit la peine de me les présenter, mais la politesse et les bonnes manières voudraient que vous vous présentiez d'abord. Mais passons ..

Elle sourit. Et ce sourire était différent de ceux qu'elle avait habituellement. Ce n'était pas son sourire si doux et amical.
Elle dit :

Vous ne me feriez quand même pas de mal ? Si ?

Elle sourit a nouveau et dit :

Non, je ne pense pas ...

Elle passa la main sur la joue de l'homme, comme pour essayer de s'approprier ses pensées. Puis, elle se rapprocha de lui, et murmura a son oreille :

Je vous suis, mais je ne le ferais pas sous la menace .. Alors soit vous remballez vos pantins, soit de transplanne ...

Elle savait que ce n'était pas forcément une bonne idée de le suivre, mais elle avait envie de savoir pourquoi elle l'avait espionnée. Et maintenant qu'il avait mentionné l'existence d'une "collection", elle voulait savoir ce qu'il en était. Savoir ce que c'était.

Anya, tu ferais mieux de faire attention. Les gens ne sont pas tous des Bisounours. Certains en sont même l'opposé. Fais attention a toi ... Et n'oublie pas que tu dois retrouver son frère ...

Il connait la ville mieux que moi, il pourra surement me guider ...

Elle le regarda et sourit encore.

Je manque effectivement à tous mes devoirs…

Kira kasimov, digne fils du grand Makar que vous avez sûrement
du avoir comme professeur en 4 eme et 5eme année à Durmstrang…
Je ne vais pas vous mentir, ce matin avant de savoir que
vous étiez une sang pur de la grande école, je m’étais mis en tête de vous Inclure dans ma merveilleuse collection…
Cela dit, j’ai d’autres projets pour vous…de projets dignes du sang suprême…

Elle n’a assurément pas cette gaucherie insouciante qui caractérise
les impurs, elle est différente…Elle lui fait penser à Tatiana…
Et il aurait tellement aimé que Tatiana devienne sa partenaire de jeu.

Accompagnez moi jusque à ma demeure, je vous montrerai mon
art et vous initierai à la vérité, à la pureté…

Rien ne force la jeune femme à accepter, rien mis à part le
regard vitreux des trois cadavres ambulants, mais surtout ce profond charisme qui émane de cet étrange personnage au teint livide et aux yeux sans fond .Il est si effrayant et si familier à la fois, si morbide et pourtant si incroyablement érotique …Il semble incarner le passeur d’âme, un gardien intemporel du portail de la vie et de la mort …Fidèle messager de Thanatos, insaisissable compagnon d’Eros…Le maître des poupées, peut-être était-elle prête à mettre sa vie entre ses mains…

La menace que vous ressentez n’en est pas une, ou plutôt si
elle l’est…Car vous en générez la dose suffisante d’endorphine pour me permettre de la proférer …Voyez ma main comme celle d’un allié, et la menace que vous ressentez s’évanouira d’elle-même.

Je peux vous apprendre à vous amouracher de la mort.

Invité

Anya regarda l'homme devant elle pendant un moment.
Elle le regarda un moment dans les yeux, cherchant a percer son regard pour atteindre son esprit.
Elle passa une main dans ses cheveux, légèrement génée, et dit :

En effet, je l'ai eu comme professeur au cours de mes années d'étude a Durmstrang. Un très bon professeur ... Que devient-il a présent ?

Anya sourit, presque forcée à le faire à cause de la phrase de Kira. Elle murmura :

M'inclure dans votre collection ? En quoi aurais-je l'honneur d'être incluse dans une collection qui a l'air de vous tenir tant a coeur ?

Elle baissa un peu la tête et dit :

Je n'aime pas que l'on décide ma vie a ma place. Je suis bien éduquée, polie, et charmante, mais surement pas naïve ...

Elle semblait murmurer des phrase en un langage ancien en même temps qu'elle parlait à Kira. Elle tenait son collier de plus en plus fort contre son coeur. Elle dit :

Ne vous méprenez pas sur moi, je vous prie. Je ne suis pas une gentille petite fille ...

Elle lacha son collier et regarda Kira dans les yeux. Elle dit :

Emmenez moi où bon vous semble, je vous suiverez. Je suis perdue dans cette ville. Peut-être pourriez vous m'aider a m'y retrouver ?

Elle sourit et dit:

M'amouracher de la mort ? Je demande a voir ...

Elle sourit discrétement et dit :

Je vous suis ...

*Camden town* Le bal des intrus (pv)

Camden town Le bal des intrus (pv)